Biographies - Lettre E |
Voici un groupe composé par le compositeur Pierre A. Gauthier (Val D'or 1949, guitare et synthétiseur moog) qui faisait auparavant partie
du groupe Aut'Chose (avec Lucien Francoeur), l'auteure Marie-France Paquin (Montréal 1950, voix), Daniel Barbe (Montréal 1952, claviers, synthétiseur), Pierre Tremblay (Winnipeg 1951,
percussions, électronique) et Yoland Houle (Montréal 1951, guitare basse). Pierre et Marie-France avaient auparavant travaillé ensemble au sein du groupe Genèse avant que Pierre ne fonde Aut'Chose. Par la suite, il se lance dans l'aventure Eclipse dans le but de mener plus loin son expérience en musique électronique, et le résultat est convaincant. Une sonorité qui n'est pas sans rappeler la musique de Pierre Henry (Messe Pour Le Temps Présent), avec de belles incursions vocales de la part de Marie-France Paquin. Après Eclipse, Daniel Barbe nous offrira un album en solo, en plus de travailler en studio avec plusieurs artistes québécois. Pierre Gauthier, de son côté, se dirigera vers la mode rétro avec les Super Classels, avant de fonder le groupe "Le Show". |
Albums | Année | En Collection |
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Eclipse | 1976 | Oui |
Groupe formé de Jean-Bernard Borja (vocal, basse), Robert Boileau (claviers), Gilles Favreau (guitare) et Jean Rémillard (batterie). Ils ont produit un album éponyme aux éditions Zik-Zak
au milieu des années 70. On compte huit bonnes compositions de type rock progressif, avec des mentions spéciales aux chansons Allias, Pavane et La ballerine musclée. Autre album recherché des collectionneurs, j'ai récemment réussi à mettre la main sur une copies digitalisée à partir du vinyle, un pur délice. Merci à François Vaudry pour ses informations qui ont permis la création de cette fiche et à Jean Rémillard pour la photo du groupe. |
Albums | Année | En Collection |
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Eden | 1975 | Oui |
Groupe de rock électronique formé du compositeur et claviériste Guy Pelletier,
de l'auteure interprète Emmanuelle Orange-Parent, Jean-Philippe Savard
(batterie, percussions), Mathieu Deschenaux (contrebasse) et Simon Duchesne
(guitares). Originalement connu sous le nom poétique du Quartier des papillons souterrains, ils ont ensuite pris le nom d'Eden106. C'est sur la scène qu'ils prennent normalement leurs envolées mais à la demande de leurs fans, ils ont accepté de leur offrir un premier album au printemps 2005. Le groupe est fort de plusieurs participations aux bandes sonores de films québécois, qu'on pense à Maelstrom, L'Ange goudron et Un crabe dans la tête entre autres choses. Leur musique est éclectique et très difficile à classer, une rencontre électronique entre le jazz-fusion, le rock progressif et la chanson du terroir. Les textes d'Emmanuelle font preuve du même genre d'ouverture que la musique avec un mélange de français, d'anglais, de chinois mandarin, de sanskrit et de langage inventé. Par moments, Emmanuelle me fait penser à Christiane Robichaud de Contraction, à d'autres occasions, c'est plutôt à Jorane. Ce n'est pas une comparaison de voix ou de style mais plutôt l'impression forte qu'elle laisse dans notre subconscient avec ses images parlées. Justement, au sujet d'images, notons l'apport de François Blouin à la conception et la réalisation des images projetées en support de la musique d'Eden106. Côté chansons, Triple Entendres en contient 10 pour un total d'une cinquantaine de minutes qui nous invitent à la fois au voyage et à l'introspection. Aube, Aphrodite et Vénus, Mama, Des hautes profondeurs du ciel, Pialoushka, We the people, Serpent, Le pichet, Nanojardin et Ciel de limace sont autant de variations sur le thème du voyage inconscient pour lequel Emmanuelle nous sert de guide. Le disque s'écoute d'un trait, les émotions sont palpables, la musique est organique et le plaisir est à partager ! Après Eden106, Emmanuelle continue sa route et vous pouvez l'entendre sur son site BandCamp dont le lien est plus bas. Autres reportages Site d'Emmanuelle Orange-Parent |
Albums | Année | En Collection |
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Triple Entendres | 2005 | Oui |
Duo de rappeurs d'origines haïtiennes, les deux frères se font appeler
E.D. et Dove et roulent leur bosse depuis plusieurs années dans le monde
de la musique québécoise. Au milieu des années 90, Dove faisait partie
du groupe Fan Cie qui a fait parler de lui avec deux extraits intitulés Deep into soul et Ola Ola Hey qui se sont retrouvés sur les compilations DJ Club mix vendues à plus
de 150,000 exemplaires. Le groupe compte aussi plusieurs apparitions à
l'émission de danse Bouge de là de Musique Plus. Maintenant en duo, les frères ont choisi de s'éloigner de la musique site de danse pour se rapprocher de leurs racines, le hip hop en français. Ils fondent alors leur propre compagnie de production et lancent un premier album intitulé Vénus comme la déesse de l'amour. Le but du duo est évident, faire du hip hop avec des rythmes accrocheurs et des textes positifs parlant d'amour, d'absence et de liberté. La musique se veut un amalgame de RnB, de jazz, de reggae, house et de rythmes latins, ce qui crée un intérêt tout au long des différentes pièces de l'album. |
Albums | Année | En Collection |
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Vénus | 2005 | Oui |
Auteure, compositrice et interprète, je l'ai entendue pour la première fois lors d'un spectacle donné en l'honneur des 30 ans du Conseil du Statut de la Femme au Spectrum de Montréal en mai 2003. J'ai par la suite appris qu'elle était la fille de la chanteuse de Jazz Karen Young dont elle a hérité d'un talent certain pour l'interprétation de chansons jazzées. J'ai par le suite entendu sa version du Poinçonneur de Lilas sur un album du ROSEQ, quelle belle voix, autant en français qu'en anglais. En 2004, elle lance l'album My Favorite Distraction qui est un magnifique hommage au talent de créatrice de la belle. Elle y signe tous les textes et les musiques, certaines en collaboration avec d'autres musiciens comme Alex Cattaneo, Gilbert Fradette, Guy Kayer et Rémy Malo. Elle avant justement travaillé avec Alex sur son premier album sorti l'année précédente et qui avait été en nomination pour les prix Juno. Un peu comme Norah Jones aux États Unis, Coral travaille à rendre le jazz accessible au plus grand nombre de personnes. En incorporant des accents de pop et avec sa voix qui coule de source, elle nous offre des superbes ballades comme State of grace, My favorite distraction ou Sacrifice. Site Web Officiel |
Albums | Année | En Collection |
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The path of least resistance (avec Alex Cattaneo) | 2003 | Non |
My favorite distraction | 2004 | Oui |
Auteure, compositrice, interprète, actrice et musicienne, Ella est née
dans une famille de musiciens puisque son père était lui-même pianiste
et trompettiste. Elle se met au piano à l'âge de 4 ans et c'est vers l'âge
de 16 ans qu'elle se joindra à l'orchestre familial qui comprenait son
père et ses deux frères aînés. Elle y jouait de la flûte, instrument qu'elle
a étudié pendant plus de 5 ans tout comme le piano au Conservatoire de
musique de Trois-Rivières. Installée ensuite à Montréal, elle s'inscrit
au baccalauréat en musique, chant classique et jazz à l'Université McGill
pour ensuite poursuivre avec une maîtrise en écriture et composition, oscillant
entre McGill et l'Université de Montréal. Tout au long de ces années, elle a toujours écrit des chansons pour finalement obtenir sa chance avec le DémoClip de MusiquePlus en 1996. Après avoir noué certains contacts, elle lance un premier album intitulé Hérétique en 1999. Le style est carrément techno et elle aura l'occasion de faire quelques expériences avec les DJs Mark Anthony et Authority. Elle a composé des musiques pour le théâtre et le cinéma en plus de jouer dans le film Eternal, mettant en vedette Caroline Néron. C'est pour le générique de ce film qu'elle a repris la chanson La bohème de Charles Aznavour, chanson qu'elle a ajoutée à son plus récent album solo intitulé Mon or. Justement, pour parler de cet album que je viens de mentionner, Ella nous y offre tout un monde de sensibilité et de méditation, que ce soient les pièces Méditation avec son intro Grégorien, Mon or avec ses sons synthétiques, Simplement aimer avec son magnifique piano ou La bohème avec toute la nostalgie qui y est rattachée, etc. Ella a su mettre en musique et en mots des élans d'émotion et créer un environnement sonore unique tout en étant facile d'accès. Variant du classique au jazz en passant par les musiques du monde, elle y chante en français, anglais, espagnol et allemand. Professeure de chant au Collège Vanier pendant huit ans, elle a travaillé aux arrangements des choeurs pour le spectacle KÀ du Cirque du Soleil tout en y agissant comme coach vocal. Site Web Officiel |
Albums | Année | En Collection |
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Hérétique | 1999 | Oui |
Méditation | 200x | Non |
A en crever (simple) | 200x | Non |
Mon or | 2004 | Oui |
Interprète native du Plateau Mont-Royal (Montréal), elle est issue d'une
famille qui avait la bougeotte, ce qui lui a permis de se forger une personnalité
facilement adaptable aux situations et aux gens. Toute jeune elle rêvait
de faire de la scène, commençant par des cours de danse avant de se jeter
dans la chanson. Elle nous offre des chansons au style pop, avec une voix frêle et délicate, ce qui me fait penser aux chanteuses françaises comme Vanessa Paradis et Jane Birkin (dont elle reprend justement une chanson). Sur le disque, on retrouve aussi des chansons composées par Stefie Shock, Jean-Pierre Isaac, Serge Gainsbourg, et Rémy Caset (anciennement des Parfaits Salauds). Ayant un timbre de voix à l'opposé des chanteuses québécoises typiques d'aujourd'hui, elle joue la carte de la féminité et de la douceur, ce qui est différent et rafraîchissant. Site Web Officiel |
Albums | Année | En Collection |
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Elle | 2001 | Oui |
Paradisiaque | 2005 | Oui |
Il y
a eu plus d'un concept où on regroupait de nombreuses artistes féminines autour d'un spectacle
ou d'un album basé sur un thème particulier. Celui-ci regroupait de nombreuses comédiennes
dans une oeuvre réalisée par le pianiste André Gagnon au studios STAR en 1999 et 2000, il regroupe des comédiennes de talent
qui se réunissent pour nous offrir des chansons qui les ont faites vibrer. On peut y écouter Marie-France Lambert, Sylvie Drapeau, Patricia Tulasne, Danièle Lorain, Anne Dorval, Pierrette Robitaille, Elise Guilbault, Monique Richard, Mireille Deyglun, France Castel, Linda Sorgini, Dorothée Berryman et Nathalie Mallette. Outre France Castel et Dorothée Berryman, aucune de ces comédiennes n'est reconnue pour ses talents de chanteuse, mais chacune réussit à tirer son épingle du jeu, et l'ensemble se veut très agréable à entendre. La réalisation d'André Gagnon y est sûrement pour quelque chose, il est sans contredit l'un des grands mélodistes du Québec. |
Albums | Année | En Collection |
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Elles Chantent | 2000 | Oui |
Autre concept incluant plusieurs artistes féminines, celui-ci regroupe des chanteuses qui
reprennent des succès de chanteurs français (ou québécois) pour les remettre au goût du jour
et leur permettre de connaître une nouvelle vie auprès d'un public renouvelé. Pour le premier
album reprenant les chansons de Francis Cabrel, on retrouvait Mélanie Renaud, Annie
Villeneuve, Marie-Élaine Thibert, Andrea Lindsay, Marie-Chantal Toupin, Ariane Brunet, Émilie
Lévesque, Nathalie Choquette, Annie Blanchard, Joe Bocan, Linda Racine et Anik Jean. Pour le deuxième album qui vient tour juste de sortir, on retrouve Ariane Brunet (Ca va pas changer le monde), Marie-Élaine Thibert (L'amérique), Joonnie Benoit (Salut les amoureux), Annie Blanchard (Le dernier slow), France D'amour (Le café des 3 colombes), Guylaine Tanguay (L'été indien), Bïa (A toi), Mélissa Bédard (Il était une fois nous deux), Désirée (Le jardin du Luxembourg), Susie Arioli (Et si tu n'existais pas), ZAZ (Champs Élysées), Johanne Lefebvre (Dans les yeux d'Émilie) et Valérie Lahaie (Si tu t'appelles mélancolie). Plein de belles voix féminines qui chantent le répertoire d'un charmeur masculin avec un résultat fort intéressant. On débute avec la version magnifique de Ca va pas changer le monde par Ariane Brunet, toujours très à l'aise dans ses interprétations comme elle nous l'avait démontré sur l'album Fab Forever avec Drive my car (des Beatles) et celle de Je l'aime à mourir sur l'album de Cabrel. Impossible de passer outre de la qualité des interprètes qui ont participé à ce projet et qui ont donné leurs propres couleurs à chacune des chansons, Bïa (latin), Guylaine Tanguay (country), France D'Amour (rock), Mélissa Bédard (soul) et Suzie Arioli (jazz). En fait, cet album prouve que même dans la diversité des voix et des styles, l'oeuvre de Dassin se fait toujours rassembleuse même en 2017. |
Albums | Année | En Collection |
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Elles Chantent Cabrel | 2012 | Oui |
Elles Chantent Dassin | 2017 | Oui |
Née en 1942,
de son vrai nom Ginette Massé, Emmanuelle se destinait surtout à une carrière dans
la musique classique, forte de sa formation à l'école Vincent D'Indy. En 1972, elle
s'attaque à la chanson populaire en interprétant une création de
Luc Plamondon et François Dompierre,
"Emmène-moi vers le soleil". Par la suite, elle fait la rencontre de Stéphane Venne, et elle connaîtra le succès populaire en interprétant les chansons que ce dernier a écrit pour elle, des chansons comme "Le Monde A l'Envers", "Et C'est Pas Fini", "J'parle pu", etc. Elle participe à de nombreux concours internationaux où elle nous fait honneur. Vers la fin 70, elle devient la chanteuse officielle des commerciaux de "La Baie", après quoi on ne la voit presque plus. Elle s'est depuis recyclée comme agente immobilière. Une excellente interprète ! |
Albums | Année | En Collection |
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Le Monde A L'Envers | 1973 | Oui |
Chanter Pour Vivre | 1974 | Oui |
Rétrospective 20 Chansons | 1993 | Oui |
Et C'Est Pas Fini | 1999 | Oui |
Hélène est une chanteuse classique, musicologue, auteur, compositeur, interprète et arrangeur. Spécialiste du folklore juif, elle a remporté le prix de la Chanson Juive en France en 1984. Elle chante en Yiddish, hébreu, Judéo-Espagnol aussi bien qu'en Français et en Anglais. Elle a produit 4 enregistrements dont le plus récent, Ay Lu Lu, à Montréal. Hélène a participé à de nombreux spectacles à travers la
France et à de grands festivals de folklore en Europe et en Amérique du
Nord. Établie désormais à Montréal elle chante occasionnellement comme soliste cantoriale au Temple Emmanuel. Elle est aussi musicothérapeute, offre des consultations en privé et dans des structures communautaires. Voici quelques commentaires sur les quatre albums produits jusqu'à maintenant: Chansons traditionnelles juives: des chansons en Hébreu, Yiddish et Judéo-espagnol, un premier album qui a permis à plusieurs de la découvrir. La Serena: Chansons judéo-espagnoles. Voix et guitare seules pour aller directement à l'âme. Errances: Elle a écrit chaque note de chaque instrument joué sur ce disque, c'est complètement elle. Ay lu lu: c'est le plus achevé dans sa globalité. C'est celui qu'elle a enregistré en arrivant au Québec. Il y a plusieurs musiciens, un choeur d'enfants, bref le disque a une histoire. L'album comprend un livret avec les paroles en Yiddish, français et anglais et une courte présentation de chaque chanson. J'ai eu l'occasion d'entendre et de rencontrer cette grande artiste, elle a fait partie de plusieurs soirées d'auteurs compositeurs à Montréal et a toujours laissé une marque indélébile dans le coeur de ceux qui la découvraient. Ses interprétations et créations s'insèrent dans la continuité de la chanson de tradition juive et sont non seulement très poétiques, mais elles nous donnent aussi envie d'en connaître plus sur l'histoire et les traditions de cette communauté séculaire. Elle m'avait mentionné travailler à la production d'un cinquième album et c'est en octobre de 2007 qu'il voit finalement le jour, nous invitant à un voyage historique à travers les différentes cultures juives de la planète. Chantant en yiddish, hébreu, judéo-espagnol, anglais et finalement en français, elle nous prouve encore une fois à quel point cette culture est riche non seulement en histoire mais aussi en musique et en traditions. Reportages QuebecPop Site Web Officiel |
Albums | Année | En Collection |
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Chansons traditionnelles juives | 1985 | Non |
La Serena | 1988 | Non |
Errances | 1991 | Non |
Ay lu lu | 1996 | Non |
Voyage | 2007 | Oui |
Vers les années 77-78, la musique traditionnelle se repointe le nez à travers plusieurs artistes dont Garolou, Paul Piché,
Brault et Fréchette, Les Séguin, etc.
L'ex-Karrik Michel Mc-Lean (guitare et voix) fonde le groupe l'Engoulevent avec Pierre Moreau (claviers), Françoise Turcotte (violon) et Russel Gagnon (violoncelle). Ils enregistrent un seul album, avec l'aide de Claude Lafrance (l'autre Karrik), Sylvie Choquette, Christiane Robichaud (Contraction et le V.E.B.B.), Bertrand Gosselin, et plusieurs autres. Cet album constitue une oeuvre maîtresse du répertoire Québécois, un amalgame jouissif de musique progressive et traditionnelle. J'écoute "Voix et Violon" régulièrement depuis près de 25 ans, et c'est toujours aussi bon. J'espérais une ré-édition sur CD depuis longtemps et elle voit finalement le jour, merci à Musique ProgresSon, en 2006. Un beau cadeau ! |
Albums | Année | En Collection |
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L'Ile Où Vivent Les Loups | 1977 | Oui |
L'Ile Où Vivent Les Loups & Etoilfilan (ré-édition 2006) | 2006 | Oui |
Un groupe de musiciens
(ils sont trop nombreux pour les nommer) qui n'utilise que des instruments
de la renaissance, et qui créent leur propre
musique, ou qui reprennent la musique de
gens connus comme Gilles Vigneault,
Claude Léveillée et Félix Leclerc. Bien que je sois pas un fan inconditionnel de ce genre musical, il accompagne assez bien un brunch du dimanche matin. |
Albums | Année | En Collection |
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Tout Le Monde Est Malheureux | 1975 | Oui |
L'Amour Et La Guerre | 1977 | Oui |
Jouissance Vous Donneray | 1981 | Oui |
La Rencontre | 1981 | Oui |
Auteur, compositeur et interprète, de son vrai nom Dominique St-Pierre,
né en 1948 à St-Hilaire. Après avoir fait partie du groupe "Les Hors
la loi" puis de "Eric et les Gamins", il lance sa carrière
solo en 1966 et connais son plus grand succès avec la chanson "Nathalie".
En fait, dans les années 66-67, les prénoms Nathalie et Eric ont été particulièrement
populaires auprès des nouveaux parents. Par la suite, en 1970, il compose la chanson "Marie Boucane" pour le film "Finalement". Il sera présent dans le paysage pendant quelques années avant de tirer sa révérence en 1972. Parmi ses spectacles, notons une présence remarquée avec Hugues Aufray et Claude Valade en 1967. La même année, il est élu "Révélation de l'Année" au Gala des Artistes. Il aura fait partie de la tournée Musicorama à l'été 67. Son répertoire est composé à grande majorité de ballades et sa voix nous rappelle un certain Salvatore Adamo. |
Albums | Année | En Collection |
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Eric | 1967 | Oui |
Finalement | 1971 | Non |
Eric: un poète | 1971 | Non |
Auteure et interprète, née en Abitibi en 1974 (sous le nom de Nancy Boilard),
elle a grandi entre la ville et la forêt puisqu'elle habitait Amos pendant
la majeure partie de l'année mais qu'elle accompagnait ses parents qui
travaillaient quelques mois par année dans un camp de bûcherons. C'est
là qu'elle a appris à vivre avec la dure réalité de l'isolement et qu'elle
se sentait déjà dans "un monde à part", ce qui deviendra le titre
de son premier album. Vers 1992, elle déménage en Estrie et jette les bases de ce qui deviendrait une carrière musicale. Entre 1997 et 2000, elle participe à plusieurs concours importants au niveau de la chanson au Québec, le Festival de Granby, St-Ambroise, Petite-Vallée et Ma Première Place des Arts, elle se rend régulièrement en finale ou en demi-finale et se fait remarquer par son calme et sa douceur même quand le groupe qui l'accompagne doit recommencer sa chanson trois fois. A l'automne, elle rencontre Izabel Chevrier qui travaille comme directrice artistique chez Quartett Music et c'est la mise en chantier du premier album qui voit le jour au printemps 2003. Sur cet album, on note des collaborations avec des musiciens, arrangeurs et réalisateurs qui ont une vaste expérience dans le milieu, Alain Quirion (Zebulon, Marc Déry, Daniel Bélanger, Eve Cournoyer), Borza Gomeshi (Sébastien De Francesco, Sylvie Paquette, Sarah Mc Lachlan, Ramasutra), Alain Bergé (Jean Leloup, Youssou N'Dour) et Carl Bastien (Dumas, Daniel Bélanger). Le premier extrait est une superbe ballade d'automne, "Les feuilles" qui a joué régulièrement sur les radios de la province alors que le deuxième extrait, "Oublier" devrait poursuivre dans la même veine. Le son Erika, c'est un folk rock moderne avec quelques ajouts de boucles informatiques, des sonorités bien présentes qui rehaussent la voix chaude et douce de l'interprète. De superbes balades qu'on se surprend à écouter encore et encore. Du très beau travail ! |
Albums | Année | En Collection |
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Un monde à part | 2003 | Oui |
Habituée d'agir comme choriste pour plusieurs artistes Québécois, Estelle Esse lance une carrière solo en 1990 avec un premier album (son seul je crois) qui met bien en valeur ses talents d'interprète et sa superbe voix. Elle a été invitée au Festival de Jazz en 1996, et lors d'une entrevue, elle disait: "Ce que j'aime, c'est faire des nuances, ça me ressemble plus que seulement travailler la voix, j'aime quand la voix voyage. Mon but, c'est d'entraîner la voix pour quelle m'empêche d'exprimer toutes les idées que je peux avoir. Il faut que ma voix soit à mon service, c'est moi qui raconte une histoire que j'ai vécue avec les émotions que je vis présentement." Depuis, on l'a aussi vue comme comédienne dans diverses pièces de théâtre, et elle continue d'agir comme choriste à l'occasion. Dommage qu'on ne la voie pas plus, un très beau disque. J'ai récemment eu la confirmation qu'Estelle a aussi fait partie du groupe Bill qui avait connu un certain succès dans les années 80. En fait, Serge Laporte qui a réalisé son album était l'un des fondateurs du groupe Bill. J'ai rencontré Estelle lors du lancement du premier album de Cindy Daniel dont elle est le professeur de chant depuis quelques années. J'en ai même profité pour prendre la photo qui orne maintenant sa fiche. Une bien charmante dame. |
Albums | Année | En Collection |
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Estelle Esse | 1990 | Oui |
Formé de Marie Bernard Pagé (claviers, ondes Martenot et voix), Denis Chartrand (claviers, flûte, saxophone, vibraphone et voix), Pierre Dragon (batterie, percussions), Robert Marchand (guitares et voix) et Alain-Yves Pigeon (basse, violoncelle et voix), ce groupe est la réponse Québécoise au groupe britannique Gentle Giant qui était très populaire au Québec à la même époque. La voix de Marie Bernard Pagé sur Et La Musique Tourne (entre autres) ajoute une belle dimension féminine qui les démarque du groupe britannique dont ils se sont inspirés. De belles incursions musicales progressives sur Éclaircie, et un disque tout à fait écoutable trente ans plus tard.. |
Albums | Année | En Collection |
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Et Cetera | 1976 | Oui |
Éternité, c'est un
projet musical de l'auteur Claude "Pélo" Péloquin (voix)
et du compositeur Michel Le François
(piano, guitares, solina, clavinette, mini-moog,
omni-moog, éminent, synthétiseur, etc). Péloquin, qui a travaillé avec Charlebois et Raoul Duguay (entre autres), est reconnu pour ses textes à la fois poétiques et critiques de la société. Le François a quand à lui auparavant travaillé avec l'Infonie, et fera plus tard partie du groupe Maneige, avec le batteur Gilles Schetagne qui est aussi présent sur l'album Sur cet album d'une richesse musicale surprenante, on retrouve Paul Baillargeon (l'album a été enregistré à son studio de Repentigny), June Wallack et Estelle Ste-Croix (V.E.B.B.) dont les voix m'ont toujours impressionné. |
Albums | Année | En Collection |
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Les Chants De L'Eternité | 1977 | Oui |
Interprète née le 7 novembre 1986 à Ville Lasalle, on l'a découverte dans la formation des Baby Spice, groupe hommage aux Spice Girls britanniques. Dans le groupe, Ève tenait le rôle de Geri Hallywell. L'attrait de la scène n'est pas nouveau pour elle, elle suivait déjà des cours de danse à l'âge de deux ans seulement et s'adonnait au chant aussi souvent qu'elle le pouvait, lors de réunions familiales ou en toute autres occasions. Fan des Backstreet Boys alors qu'elle est encore toute jeune, elle se joint à ses copines de l'école de danse pour former le groupe des Backstreet Girls. Il n'en fallait pas plus pour que les jeunes filles se fassent remarquer et que débute le projet d'imiter les Spice Girls. Des spectacles en Ontario et à travers le Québec s'ensuivent et le groupe prend finalement un nom qui leur est propre, les Baby Spice. Durant cette phase de sa vie, elle a participé à l'enregistrement du CD intitulé Baci Baci Baci, sorti en 1999, suivi d'une vidéocassette Les Baby Spice live au Salon des amis. Toujours avec les Baby Spice, elle a connu la gloire, des spectacles au Colisée de Québec, au Centre Molson, au Stade Olympique... des apparitions télé, la première page des magazines et des journaux... des milliers de fans ! A l'aube de l'adolescence, l'aventure Baby Spice se termine et Ève réalise plus que jamais qu'elle a le feu sacré. Elle considère donc entreprendre une carrière en solo, prend des cours de chant avec Johanne Raby, des cours de danse avec Louise Brabant et fait plusieurs démarches pour se trouver une maison de disques. Elle obtient des contrats de danse dans des vidéoclips et continue toujours de se perfectionner, cette fois chez Louise Lapierre. C'est finalement avec les Productions Vrai Rêve qu'elle réalisera son rêve d'enregistrer un album solo qui s'intitule Danse avec moi, sorti en 2003. De facture majoritairement dance, l'album traite joliment des préoccupations d'une jeune femme de son âge. Les musiques sont de Jean-Pierre Isaac et les textes sont de Isabelle Lafrance et Francesco. Selon mes sources, elle est extrêmement sympathique et adore le contact avec le public. Site Web officiel |
Albums | Année | En Collection |
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Danse avec moi | 2003 | Oui |
A la vie, à la mort | 2006 | Oui |
Groupe de rock progressif, formé au début des années 1970, de Marc Delage
(guitare, basse, voix), Léo England (batterie, voix), Michel Phaneuf (orgue,
mellotron, Arp Odissey, voix) et Pierre Poulet (basse, guitare, voix).
Le groupe se reforme en 2007 et cette fois les membres sont Marc Delage
(basse, voix), André Barrière (guitare), Léo England (batterie), Claude
Phaneuf (guitare) et Michel Phaneuf (orgue, synthétiseur). J'avais assisté à un spectacle du groupe à Repentigny aux environs de 1972 alors qu'ils s'appelaient Incubus, nom qu'ils ont du changer en 2008 puisqu'un autre groupe (Californien celui-là) porte maintenant ce nom. Vous comprendrez que cet album prend une dimension spéciale pour moi puisque Marc Delage était un confrère de classe au Collège de L'Assomption au début des années 70. Jamais je n'aurais imaginé réentendre leur musique après tout ce temps. Et voilà donc qu'ils lancent en 2008 un album qui a mis près de 35 ans avant de voir le jour. La moitié (4) des pièces ayant été enregistrées en 1974 au célèbre studio Strawberry du château d'Hérouville en France (David Bowie, Elton John, Les Stones, etc) et l'autre moitié en 2007-2008 au Québec. Malgré les 34 ans qui séparent les enregistrements, je dois dire que la qualité du travail technique est telle qu'on voit à peine la différence, ce qui se sent dans la très belle homogénéité du disque. Ils nous offrent du rock progressif qui aurait pu rivaliser avec les Genesis et Yes de l'époque, sans compter les groupes québécois comme Et Cetera, Pollen, Sloche, etc. Le groupe Incubus a participé à la création d'un matériel sonore original et québécois, il est tout à fait logique que ce patrimoine soit maintenant préservé à jamais et merci au groupe de s'être remis à la tâche pour nous offrir cet excellent album. En 2011, le groupe lance un deuxième album qui poursuit dans les traces du premier. Intitulé Lagauchetière en souvenir de l'appartement que les membres du groupe habitaient dans les années 70, on y retrouve les membres officiels du groupe, Marc Delage (basse, guitare, voix), Claude Phaneuf (guitares), Michel Phaneuf (claviers, voix) et Léo England (batterie, percussions), entourés des invités, l'excellent pianiste André Delage, Mary England (choeurs), Jacques Boulerice (voix) et André Barrière (guitare basse). Une collection de 11 pièces où les claviers dominent, extraites du répertoire du groupe ou de groupes auxquels les membres ont été associés au fil des années qui ont suivi la dissolution du groupe originalement appelé InCubus, soient les formations Coenobium, Igor et Polygone. Cette fois, tout l'album a été produit en 2011, au studio Red Tube de Luc Boivin. Comme pour le premier album, ce sont les claviers dominent le son ExCubus, mais les arrangements complexes au niveau de la basse et de la guitare lui donnent une richesse unique. La musique d'Excubus se vit comme un battement de coeur et elle imprègne sa couleur particulière dans les oreilles de l'auditeur. Elle n'est pas uni-directionnelle, elle bouge, se fait haletante, s'adoucit puis pars dans une autre direction comme une urgence de vivre, d'imaginer et de créer. Site de ProgQuebec |
Albums | Année | En Collection |
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Mémoires Incubussiennes | 2008 | Oui |
Lagauchetière | 2011 | Oui |
Groupe de rock formé autour d'Alan Charles, compositeur et parolier de
la majorité des pièces du groupe. En 1999, lors de la parution de l'album
Small People, Short Story, Little Crime le groupe compte sur Gérard Lévêque (batterie), Richard Lanthier (basse,
Moog Taurus), François Beaugard (violon), Gaston Gagnon (guitare) et Alan
Charles (piano, guitare, voix, basse sur 3 sélections). Plusieurs musiciens se sont succédés au cours des 15 années de vie du groupe, la liste complète se trouve sur leur site web dont le lien est plus bas. J'ai fait connaissance avec le travail d'Alan Charles principalement lors de la mise en marché de l'album Élétria qu'il a écrit et composé, laissant la formidable voix de Catherine Boulanger interpréter le personnage central de l'histoire. Par la suite, Alan m'a fait découvrir l'album le plus récent du groupe Existence, ce qui m'a permis d'apprécier l'avant Élétria. La musique d'Existence peut difficilement être classée, par moments on passe du hard rock aux guitares tonitruantes au classicisme du piano, au lyrisme du violon et aux sons progressifs du synthétiseur. Puisque cela fait partie de sa marque de commerce, les textes d'Alan sont toujours très directs, voire difficiles et plutôt noirs. Il dit les choses comme elles sont, sans fioritures et sans détours poétiques. Du matériel empreint d'urbanité. C'est un grand moment à l'automne 2017 quand je reçois le CD double qui reprend le matériel du premier album, Fragile Whisperings Of Innocence, tout en complétant le deuxième acte intitulé Silent Screams of Violence qui n'avait jamais été enregistré jusque là. Un album qui a pris naissance en 1987 pour se compléter 30 ans plus tard grâce au socio financement qui a finalement permis la parution de ce chef-d'oeuvre. Tout le matériel a été paufiné, retravaillé, ré-arrangé et ré-enregistré pour en assurer l'homogénéité, le violon de François Beaugard sonne comme une tonne de briques et donne une vibration à cette oeuvre que tout amateur de rock progressif (ou de rock en général) devrait découvrir. Comme pour l'album Élétria, Alan a beaucoup donné sur cet album, il a avant tout imaginé le concept, écrit les textes et composé la musique, avant de porter le projet sur scène dans les années 80/90, et finalement de le financer avec l'aide de ses fans pour l'enregistrer et le mixer au cours des derniers mois. Il y joue des claviers, guitares et basse en plus de prêter sa voix et de s.être entouré d'une équipe aguerrie composée de François Beaugard mentionné plus haut, de Gérard Lévèque à la batterie, de Valery Kim Gosselin à la voix, de Gaston Gagnon aux guitares et finalement Richard Ranger à la basse. Le concept suit la vie de Paul, père de Krissy qui elle-mème partage les démons de Maryse et de Michael. Entre la guerre, la drogue et le suicide, leurs vies vont s'entrechoquer sur des envolées musicales allant jusqu'à 17 minutes, sans aucun temps mort ce qui n'est pas peu dire. Le propos est moderne, universel, celui de la vie et de la mort, de l'amour et de la guerre, mais avec un enrobage qui accentue les sentiments véhiculés. C'est vraiment très très bon! Site Web Officiel |
Albums | Année | En Collection |
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Fragile Whisperings Of Innocence | 1994 | Oui |
Another fine day of... | 1998 | Non |
Small People, Short Story, Little Crime | 1999 | Oui |
Élétria (projet connexe) | 2007 | Oui |
Origins | 2017 | Oui |
Peu d'informations circulent sur ce groupe du milieu des années 90. Formé
de Stéphane Aubin (piano), Jean-François Demers (basse et voix), Claude
Pineault (guitares et voix), Jean Ainsley (batterie) et Michel Dupire (percussions),
entourés d'une pléiade d'excellents musiciens, le groupe est originaire
de Terrebonne.. On peut noter la présence d'Eric Lapointe sur la chanson "Imagine Pas". J'ignore si c'est par nostalgie, mais leur musique m'accroche beaucoup. Bien que le groupe n'existe plus, Jean-François Demers se produit de temps à autres dans les clubs de la région et lors des fêtes de la St-Jean. Le genre de recherche musicale qui était très présente dans les années 70, mais dans mon livre, Ex-Libris = Excellent ! |
Albums | Année | En Collection |
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Ex-Libris | 1995 | Oui |
Les membres: Simon Petit: influencé par les Greenday, Eve 6 et Blink 182, il gratte la guitare dès l'âge de 9 ans. Il écrit les textes, s'assure de la mélodicité des musiques, joue de la guitare et est la voix principale du groupe. Alex Bonneau: dans la lignée des grands guitaristes qu'il admire, comme les Steve Vai, Joe Pass et Stevie Ray Vaughan, Alex combine ses influences musicales et ses solos de guitare électrisants pour aiguiller le son du groupe. Professeur de guitare depuis l'âge de 19 ans, il a lui-même une solide formation en guitare jazz. Luc Legros: alors adolescent, Luc suit des cours pour apprivoiser l'instrument qui l'attire le plus, la batterie. Il continuera au CEGEP de Joliette et aura l'occasion de jouer avec plusieurs groupes de sa région. Serge Lépine: âgé de 12 ans, Serge prend une guitare basse en main et ne la quittera plus. Trois ans plus tard, il s'allie avec Simon et Luc pour former le groupe InsideOut. A l'occasion, il joue un peu de guitare et essaie même le tuba. Il écoute Our Lady Peace, Red Hot Chili Peppers et Coldplay... il vit pour la musique. Robert Legros: six années de cours de piano, une grande maîtrise des claviers électroniques, voici le background de Robert. Technicien de son, il a travaillé avec le Dan Bigras, Plume Latraverse, Laurence Jalbert, Boom Desjardins, etc. Familier avec l'oeuvre de Pink Floyd, U2 et Coldplay, il est le réalisateur principal de l'album, rien de lui échappe. Ils lançaient leur premier à l'automne 2004 et, en quelques semaines, la chanson Signe se trouvait en première position du palmarès radio québécois. Leur rock est de facture classique, bien interprété, bien joué, des riffs accrocheurs et une présence des claviers qui ajoute une belle touche de créativité. Le producteur Zone 3 ainsi que la compagnie de disques Artic ont eu un coup de coeur pour ces compatriotes d'Audrey de Montigny et se sont associés pour la production et la promotion de ce disque. Le 17 mars 2006, le groupe annonce que les membres ont choisi de prendre des chemins différents et c'est la fin d'Exode tel qu'on le connaît. Autres reportages Site Web Officiel |
Albums | Année | En Collection |
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Exode | 2004 | Oui |
Groupe formé de Dan (batterie), Nick (guitare), Jess (basse) et Marc (voix
et guitare), leur musique est du style rock alternatif, assez pesant merci. Le groupe existe depuis 1992 et les membres ont maintenant entre 24 et 26 ans (en 2003), faites le calcul. Trois d'entre eux sont originaires de l'Ile Bizard alors que le quatrième est originaire de Windsor. C'est donc en 1992 qu'il donnent leur premier concert, lors des fêtes de la St-Jean devant plus de 3000 personnes. Ils participent ensuite au concours Rock Concert 95 et enregistrent sur différentes compilations de l'underground montréalais. Ils donnent une série de concerts (10 spectacles en 11 jours) avec le groupe européen Gingerbread en 2002. Le groupe devrait se rendre en Europe à l'été 2003 pour continuer la tournée entreprise avec Gingerbread. Ils sont de la trempe des Kermess, Vulgaires Machins, même un peu des Cowboys Fringants. Pour ce qui est de leur album "Vous êtes ici", lancé devant un Cabaret bien rempli en mai 2003 (incluant leur idole Léandre), il a été réalisé par Frank Joly (Vulgaires Machins, Les Marmottes Applaties, etc) et la pochette a été dessinée par l’illustrateur du Safarir. Ce premier opus officiel regorge de riffs de guitare bien acérés et de basse tonitruante. Sur ce disque, le groupe reprend de façon beaucoup plus lourde, la chanson "GoodBye My Love" de Léandre. Oui, vous avez bien lu, du Léandre heavy métal, ça décoiffe ! Autres reportages Site Web Officiel |
Albums | Année | En Collection |
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Vous êtes ici | 2003 | Oui |
Le délire du savant fou | 2005 | Oui |