Biographies - Lettre W |
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Auteure, compositrice et interprète, elle possède un peu de sang amérindien
qui lui vient du côté de son grand-père maternel. Elle nous a offert un
unique album en 1976, accompagnée de gens connus comme le bassiste Bill
Gagnon (Ville Emard Blues Band), le batteur Dennis Farmer (Harmonium), et le claviériste Pierre Nadeau (le gros Pierre de Charlebois). Jouant elle-même des claviers et de la flûte, elle nous offre des chansons tout à fait agréables, comme cet extrait de Pour Qui Tu M'Prends ainsi que On est rien qu'des amis ici, deux chansons que j'aime beaucoup. Quelques années après ce premier et dernier long-jeu, elle s'est tournée vers le jazz qui était en fait sa vraie passion. En 1988 elle a créé le rôle de Soeur Oubliette dans la comédie musicale Les Nonnes. Elle l’a joué plus de 560 fois en 7 ans. Elle a abandonné la scène musicale au début des années 90 mais travaille toujours avec sa voix. Elle ne chante plus, elle parle ! Que ce soit à titre de narratrice ou, à l’occasion, comme comédienne dans le secteur commercial et corporatif. Elle a aussi joué dans un film d'Yves Dion en 1999, intitulé Le Grand Serpent du Monde. |
Albums | Année | En Collection |
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June Wallack | 1976 | Oui |
Bluesman très reconnu pas ses confrères, il nous a récemment offert un
album dédié à ce genre musical. Comme pour les albums précédents, nous
pouvons y trouver quelques chansons en français à travers des albums majoritairement
en anglais. Un habitué des bars enfumés donnant plus de 200 spectacles par année, il a fallu plusieurs années pour que Bob Walsh soit reconnu et obtienne un contrat de disques en bonne et due forme. Il a ainsi pu participer à différents événements artistiques avec d'autres artistes et laisser tomber un peu la vie de tournée pour reprendre une vie presque normale. Il a participé à l'un des Cabarets des Refraina, reprenant avec Sylvie Paquette "Pour oublier qu'on s'est aimé" dans un style bien bluesé. Cela faisait bien 25 ans que Bob sévissait un peu partout sur les scènes québécoise; quand il est question de blues, il crie toujours "présent". Sur son avant dernier album, on retrouve des classiques du jazz, notamment du Cole Porter, qu'il a repris à sa façon, se joignant à Monique Fauteux (Harmonium) pour "Unforgettable" et Terez Montcalm pour "Somewhere". Un bel album qui se laisse écouter tendrement. En 2002, il nous revient avec un nouvel album résolument plus Blues que le précédent. Encore une fois on parle de reprises de classiques plus ou moins connus, mais rendus avec la même ardeur qui caractérise cet artiste. Avec la présence de Steve Hill et des choristes Sylvie Desgroseillers, Kim Richardson et Dawn Taylor Watson. Deux ans plus tard, suite à un mémorable concert au Spectrum de Montréal pendant les célébrations du 25ème anniversaire du Festival de Jazz de Montréal, Bob lance un album hommage aux compositeurs canadiens. Plusieurs grands noms du blues canadien ont répondu à l'appel de Bob, soit Jimmy Bowskill, le jeune prodige guitariste de 14 ans, Jack De Keyser (album blues de l'année 2003 aux Juno), David Gogo (guitariste de blues très connu dans l'ouest canadien), Dawn Tyler Watson (notre reine du blues à nous Montréalais), Breen Leboeuf et Martin Deschamps, deux de nos grands rockers bluesmen avec lesquels Bob interprète la chanson Mes blues passent pu dans porte. L'album a été réalisé par le claviériste Jean-Fernand Girard et fait appel aux talents de Guy Bélanger (harmonica), Bernard Deslauriers (batterie), Jean Cyr (basse), Christian Malette (guitare), David Bellemarre (saxophone), Yvanoé Jolicoeur (trompette) et Serge Arsenault (trombone). Ajoutons la présence de Marie-Christine de Pestre aux choeurs ainsi que la toujours dynamique Sylvie Desgroseillers en duo avec Bob sur la pièce Summertime. Impossible de rester insensible à toute l'énergie et l'émotion qui se dégage de cette prestation historique, tous les musiciens (et les invités) partagent cette passion du blues avec Bob Walsh et, pour notre grand plaisir, avec nous ! Lancé à l'automne 2012, son plus récent album s'intitule There's a story here, un album au titre clairement évocateur. Sur ce disque, Bob a un plaisir évident à raconter des histoires comme le démontre le solide trio d'ouverture When you comin' over ?, Move et l'excellente pièce-titre de l'album. Le disque est un heureux mélange de compositions et d'interprétations dont la magnifique Angel from Montgomery, écrite en 1971 par John Prine. Toujours aussi vibrant et émouvant, Bob est de nouveau entouré de sa fidèle équipe - Jean-Fernand Girard à la direction musicale, aux claviers et arrangements, le brillant harmoniciste Guy Bélanger, Christian Martin aux guitares et la solide section rythmique composée du bassiste Jean Cyr et du batteur Bernard Deslauriers. Oui, il y a là toute une histoire. L'histoire d'un talent hors du commun, d'une voix sans pareille et d'une carrière qui a valu à Bob Walsh un immense respect de la part de ses pairs, mais aussi de toute la communauté musicale québécoise. La simple mention de son nom évoque presque toute l'histoire du blues québécois, du groupe Contrebande des années 70 à aujourd'hui. Bob Walsh est un battant, un survivant et un vrai géant du blues Autres reportages |
Albums | Année | En Collection |
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Bob Walsh en spectacle / Live | 1998 | Non |
Bob Walsh et le Quatuor à cordes Allard | 2000 | Non |
Unforgettable songs | 2001 | Oui |
Blues | 2002 | Oui |
A canadian blues rendez-vous | 2004 | Oui |
The only soul | 2007 | Oui |
Inside I am all blue | 2010 | Oui |
There's a story here | 2012 | Oui |
Auteure, compositrice et interprète originaire de la région de Québec, née en 1982, elle fait ses débuts sur scène alors qu'elle n'a que 15 ans, participant à la comédie musicale Noël à Québec. Par la suite, elle s'inscrit au concours Jeunes Talents d'Expo-Cité dont
elle rafle la première place pour la région de Québec. Puisque c'est la musique qui l'attire, elle déménage ses pénates à Montréal et fait ses classes, travaillant dans l'ombre sur des refrains publicitaires pour la radio, puis sur la chanson satyrique Wrap le rap des Mecs Comiques. Commence ensuite la pré-production de son album. Après trois années passées à travailler les textes et les musiques, elle lance un premier album (en mai 2003), album produit avec l'aide de Fred St-Gelais (Hépatite B.) Le premier extrait de l'album, Dépendre de toi a beaucoup tourné à la radio et le vidéoclip de la chanson lui a permis une grande une visibilité sur les stations de télévisions. Le deuxième extrait, Si exceptionnel, a eu sensiblement le même traitement. Elle a fait les Francofolies de Montréal, édition 2003 et 2004. La photo de droite a été prise lors du lancement de son premier album. Andrée Watters, c'est du rock bien mordant tout en restant mélodique et facile d'accès. Voyons où cela la mènera. Site de Daniel sur Andrée Watters Site d'Anasthasia sur Andrée Watters Site de Milady sur Andrée Watters Site Web Officiel |
Albums | Année | En Collection |
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AW | 2003 | Oui |
A travers | 2005 | Oui |
Minuit | 2008 | Oui |
C'est en 1994 au Saguenay qu'Alex Jones a l'idée de créer un groupe sous le nom de WD-40. Mélange de rock de garage et de country, la musique du groupe s'assied sur des textes crus et directs, aucun tabou ne fait peur à la démesure d'Alex. La photo de gauche a justement été prise lors d'un spectacle hommage (ou plutôt outrage) aux Sinners dans le cadre du Coup de Coeur Francophone 2002. Au sein du groupe, on retrouve donc Alexandre Carrier (alias Alex Jones), joueur de basse et chanteur principal. Né en 1973, il a appris à jouer de la basse sur le tas, est auteur-compositeur et membre fondateur. Après des débuts comme interprète de chansons françaises avec le groupe Les Échevelés (du Saguenay), il change complètement de ton pour oeuvrer dans la musique punk montréalaise avec 8478 et Raymond Sauvage. Il est accompagné d'Etienne Carrier-Jones (alias Jean-Loup Lebrun) qui joue de la guitare. Lui aussi originaire du Saguenay, il est né en 1976 et est surtout guitariste de blues. Il a joué pour le groupe L'Amalgame, un groupe de musique progressive saguenéen. Le groupe a aussi compté dans ses rangs Julien Livernois (alias Jules 40), un batteur originaire de Boucherville. A sa place, le groupe compte maintenant sur Michel Dufour (Les Colocs, Mononc' Serge, Fred Fortin + Gros Mené, Annie Dufresne) en tant que batteur officiel. Après une éclipse de quelques années, Alex Jones lance un nouvel album fort apprécié en 2006. Saint-Panache lui ouvrira peut-être les portes d'un public plus large. |
Albums | Année | En Collection |
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Crampe en masse | 1998 | Non |
Aux frontières de l'asphalte | 1999 | Non |
Fantastik strapagosse | 2001 | Non |
Saint-Panache | 2006 | Oui |
Auteur compositeur interprète né un 31 mars et qui lançait un premier album
à l'automne 2005, ce après une carrière de conseiller politique auprès
de Lucien Bouchard. Quitter un poste de haut fonctionnaire avec tout ce
que cela implique de sécurité financière pour se lancer dans la chanson,
faut avoir des couilles ! Après un bout de chemin dans le métier à faire ses classes, il offre enfin un premier album sous l'étiquette des Productions de l'Onde, la boite d'Edgar Bori. A la fois poétique et musical, l'univers de Wells fait place à des textes mi-sérieux, mi-cyniques, permettant à l'auteur d'amener l'auditeur dans des sentiers peu fréquentés. J'ai entendu quelqu'un faire une comparaison avec Plume Latraverse lors du lancement et c'est un fait que certaines phrases très directes font penser à son illustre aîné mais la comparaison s'arrête là. Wells peut être drôle, cinglant même, mais l'angle poétique est toujours présent alors que le support musical est bien d'aujourd'hui. Pour cet album, Guy-Philippe s'est entouré du bassiste et réalisateur Frédéric Boudreault, du batteur Alexis Martin, du guitariste Simon Godin et de Geneviève Jodoin pour les choeurs. Reportages Site Web Officiel |
Albums | Année | En Collection |
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Futur antérieur | 2005 | Oui |
Groupe rock (punk) de la région de Québec, formé de Jonathan Bergeron (voix,
guitare basse), Dominic Levesque (guitare), Étienne Dionne (batterie) et
Simon Labrecque (guitare). Le groupe existe depuis l'an 2000 et s'est rendu
en semi-finale au CONGA 2001 (Concours des groupes amateurs des Cégeps
et des Universités). Ils ont donné quelques spectacles dans la région de la capitale québécoise, notamment au Liquor store, Pub universitaire, Kashmir, Dagobert, Cabaret du Capitole, etc. En 2002, ils ont cette fois remporté le premier prix au CONGA, en plus du prix du public et de celui du meilleur bassiste. Grâce aux retombées de ce concours, ils ont pu enregistrer leur premier CD "Turn me on" lancé à l'automne 2002. L'album est majoritairement anglophone, mais on y retrouve une chanson en français, "Laisse-la donc tomber" qui a eu l'occasion de jouer régulièrement aux postes de radio de Québec et de Montréal. Une ré-édition de l'album sous l'étiquette NEW ROCK sera en magasin à la mi-juin avec 2 nouvelles chansons en français. Site Web Officiel |
Albums | Année | En Collection |
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Turn me on | 2002 | Non |
Auteur, compositeur et interprète de la région de Québec, William Aubin se fait appeler WillÂme, un joli nom qui est aussi le titre de son premier album enregistré au Studio Sismique de Québec avec l'aide d'Hugo Lebel (prise de son, mixage et réalisation), Michel Boudrias (basse électrique, voix, violon, arrangements), Sarah Aubin (clavier, voix), Guillaume Lizotte (violoncelle, piano) et Patricia Picard (voix). WillÂme y signe paroles, musiques et arrangements en plus de jouer de la guitare. À l'automne 2003, il réalisait un démo qui amena à se produire avec plusieurs artistes (Ast'Heure, Schizophonie, L'Homme du nord, etc.) à Québec et au Lac-Saint-Jean en passant par ailleurs en région. Cela lui permet d'acquérir une solide expérience scénique. Ayant terminé son diplôme d'études collégiales en musique, il suivit une formation en Gestion de carrière artistique à l'été 2004. Décidément, WillÂme en veut à la téléréalité qui prend de plus en plus de place et qui fait croire au monde qu'il faut être une star avant d'être un artiste, tout comme les magazines et les médias qui embarquent dans le bateau. WillÂme propose donc un album avec des titres comme WillÂme, Frost, Dans un aquarium, Pilule superstar, Julie P., etc, en tout une treizaine de chansons francophones qui réclament la liberté et le droit d'agir à sa manière. Le livret se décrirait comme un guide, un manuel d'instructions pour sortir des sentiers battus. Co-réalisé par Hugo Lebel (Les Goules, Headache24) et WillÂme, les pièces musicales sont d'un folk rock éclaté et font preuve de beaucoup de mélodicité avec des petits arrangements de piano ou de violon là où ca compte. À déconseiller aux amateurs de Star Académie, ils pourraient se sentir visés... Site Web Officiel |
Albums | Année | En Collection |
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WillÂme | 2005 | Oui |
Interprète, né le 19 mars 1969 à Montréal, son vrai nom est Mario Lamarche. On le connaît bien aujourd'hui comme le conjoint de Chantal Pary qui a connu son heure de gloire au tournant des années 70. Tombé sous
le charme de la jolie chanteuse alors qu'il était tout jeune, le hasard
a voulu qu'il fasse sa rencontre lors d'une session d'enregistrement pour
l'un de ses albums en 1995. Ils ne se sont plus quittés par la suite et
ils font maintenant carrière ensemble. Avant cette rencontre déterminante, Carl avait une feuille de route bien remplie. Des leçons de chant dès l'âge de 9 ans, plusieurs prix remportés lors de concours amateurs, quelques téléthons, pour finalement déboucher sur le lancement d'un premier album en 1992. Nominé à l'ADISQ pour l'album populaire de l'année, son CD a été certifié disque d'or en moins de 6 mois. Le deuxième album ne tarde pas et il voit le jour fin 1993 sur des textes de Laurence Matalon-Musy et des musiques de David Foster. Des spectacles importants, comme le Théâtre St-Denis de Montréal, ainsi que celui en hommage à l’année internationale de la famille qui se tient à Ottawa, lui permettent de prendre le pouls et de garder le contact avec son public. Puis, vient la rencontre avec Chantal Pary dont il demandera la main en direct à la télé en 1997. Le mariage aura lieu le 13 décembre de la même année. Le duo donne des spectacles au Québec et aux Etats-Unis et se rendent jusqu'à Nashville pour enregistrer des maquettes et rencontrer des créateurs influents de cette région. De retour chez eux, ils font le Capitole de Québec et de nouveau, le St-Denis dont leur plus récent album est issu. Leur travail en duo se termine en 2006. Autres reportages |
Albums | Année | En Collection |
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Les enchaînés | 1992 | Non |
Dans dans mes yeux | 1993 | Non |
Chantal Pary Carl William | 1997 | Non |
Noël (avec Chantal Pary) | 2003 | Non |
Deux voix une scène (avec Chantal Pary) | 2004 | Oui |
Originaire de Jonquière, cette interprète possède une voix fraîche et puissante,
et nous représente fort bien à travers le monde. Elle a remporté la Rose
d'Or 2000 à Antibes en France, où nos cousins ont craqué pour sa chanson
"Flamme". Au Québec, elle a remporté le trophée Alys Robi en 1998, et le premier prix de Vincent d'Indy (catégorie voix) en 1999. Ses chansons affichent de belles mélodies, bien adaptées au style du jour. Elle est reconnue pour ses talents sur scène et chante aussi bien en français qu'en anglais, espagnol, italien et allemand. Ayant vécu au Nouveau-Brunswick quelques années, elle a été très touchée par la chanson "Evangéline" de Michel Conte, qu'elle reprend sur son premier album. Originalement chantée par Isabelle Pierre, puis plus récemment par Marie-Jo Thério, cette chanson traite superbement de la déportation des Acadiens en 1755.. Parlant déjà le français, l'anglais et l'espagnol, Marie envisage d'apprendre aussi l'italien et l'allemand. Longue vie à Marie Williams ! Site Web Officiel |
Albums | Année | En Collection |
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Tout Un Monde | 2001 | Oui |
Artiste née à Brooklin le 20 novembre 1945, elle a grandi à Jackson dans
le Mississippi. De son vrai nom Joan Workman, sa carrière plane au dessus
des années 60, 70, 80, 90 et maintenant 2000. Elle a su faire sa marque
dans chacune de ces décennies. Son père (Ernest Workman) fût trompettiste dans l'orchestre de Tommy Dorsey, sa mère (Beatryce Kreisman) chanteuse de Music-Hall. A l'âge de 4 ans, elle participa à la formation Bebe Kaye and Her K Notes, gérée par sa mère. Elle-même fit ses débuts professionnels à l'âge de 18 ans dans la pièce How to Succeed in Business Without Really Trying sur Broadway, et sera tour à tour mannequin, choriste, actrice et chanteuse. Dans les années 60, sous la férule de Tony Roman, elle interprète Guantanamera, et est élue découverte de l'année en 1967. Elle a aussi animé l'émission télévisée Fleurs d'amour, Fleurs d'amitié avec ce même Tony Roman. Dans les années 70, elle travailla en Angleterre avec les ex-Beatles, les Rolling Stones, Peter Frampton et Joe Cocker, en France avec Johnny Halliday dont elle fût aussi la compagne. De retour au Québec, elle devient Lady Marmelade, l'interprète de chansons à la fois très rythmées et explicites. Je lisais récemment que la chanson J'ai le goût de baiser s'intitulait originalement J'ai le goût D'UN baiser, mais comme le public réagissait positivement à la version plus explicite, c'est celle-là qui a été retenue... En 1977, elle enregistre l'album Grits and Cornbread avec le soutien du fabuleux guitariste Peter Frampton. On la retrouve aussi comme interprète de Sadia sur le disque original de Starmania. Dans les années 80, elle connut à nouveau le succès avec Call Girl de Luc Plamondon et travailla aussi avec Serge Fiori au superbe Ballons Percés. En 1986, elle participe à la comédie musicale 1926. Dans les années 90, elle fait partie de La Légende de Jimmy, autant sur disque que sur scène. En 1992, elle interprète la chanson thème du 350ème anniversaire de fondation de Montréal, intitulée Un bateau dans une bouteille, elle chante la chanson avec Dan Bigras. En 1994, elle remporte le Félix de l'album rock de l'année avec Rock et Romance. Finalement, dans les années plus récentes, 2001 et 2002, elle retrouve ses racines avec le blues qui lui colle à la peau, elle sort un album dédié à ce style musical (Roots 'n' blues, fait partie de la revue Mississipi Queen et devient même la présidente d'honneur du 10ème anniversaire du festival Maximum Blues de Carleton. En 2003, elle se fait plaisir à nouveau avec un nouvel album de blues dans lequel elle met toutes ses tripes. Elle reprend même la chanson I lost my baby de Jean Leloup dans un style blues lent et la chanson en est presque méconnaissable. Toujours une valeur sûre, Nanette nous fait découvrir une partie de son bagage génétique, elle qui est originaire du Mississippi. Elle renouvelle l'expérience en 2005 avec Mississippi Rolling Stone. Site Web Officiel |
Albums | Année | En Collection |
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Nanette | 1967 | Non |
Je me rétracte | 1967 | Non |
Fleurs d'amour, Fleurs d'amitié | 1968 | Non |
Nanette (compilation) | 1969 | Non |
Lady Marmalade | 1975 | Oui |
Nanette Workman | 1976 | Oui |
Nanette Workman (En anglais) | 1976 | Non |
Nanette Workman | 1977 | Non |
Grits And Cornbread (En anglais) | 1977 | Oui |
Chaude | 1980 | Oui |
Nanette Workman | 1983 | Oui |
Changement D'Adresse | 1989 | Oui |
Les Grands Succès (compilation) | 1990 | Non |
Rock et Romance | 1994 | Non |
Une à Une | 1996 | Non |
Guantanamera (compilation) | 1999 | Non |
Danser Danser (compilation) | 1999 | Oui |
Call Girl (compilation) | 1999 | Non |
Roots 'n' Blues | 2001 | Non |
Vanilla blues café | 2003 | Oui |
Mississippi Rolling Stone | 2005 | Oui |