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| Malheureusement ce qui devait arriver arriva, la dernière soirée du festival
édition 2012, la trentième depuis sa création par des illuminés de la chanson.
Difficile d'imaginer plus belle fin avec l'hommage au passeur par les gens
de la région, petits et grands, ainsi que par des chansonneurs qui ont
foulé ces planches il n'y a pas si longtemps comme Guillaume Arsenault,
Daniel Boucher, Catherine Major (la muse) et Hubert Cotton. C'est Daniel
Lavoie qui s'est vu confier la tâche d'animer cette soirée, lui qui a été
instrumental dans la venue de Michel Fugain au bord de la mer gaspésienne. Avec humour, sobriété, passion et beaucoup de sensibilité, ils ont puisé dans le vaste répertoire de l'artiste hommagé, de son époque Big Bazar jusqu'à ses disques plus récents pour nous faire faire un tour d'horizon d'une carrière qui s'est étendue sur au moins 5 décennies. Que ce soient les chanteurs du village ou les enfants des musiciens, ou encore les chansonneurs 2012, tous étaient fébriles pour faire découvrir leur amour de la chanson à notre passeur 2012. Une passion qui se passe de père en fille quand on pense à Jeanne et Mathilde Côté (filles d'Alan Côté) et de mère en fille quand on voit apparaître la voix féminine de l'orchestre (Lana Carbonneau) accompagnée de ses deux petites filles . Et il fallait voir le passeur, incapable de rester en place, il se levait, gesticulait, montait sur scène pour faire les choeurs, interagissait avec l'animateur pour ajouter des doses d'humour, un homme comblé quoi. Et le public dans tout cela ? Complètement conquis! Une salle qui déborde, des ovations debout, le public en or des vallées (petite et grande) qui se joignait aux autres spectateurs venus d'aussi loin que Montréal pour vivre ce moment avec eux. Une grande cuvée qui nous fait croire que le meilleur est encore à venir pour de festival sans équivalent dans le monde francophone. Félicitations à toute l'équipe ! |
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| Liste de tous les lauréats 2012 | |||
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· Bourse de la langue française : Phil Moreau · Prix du public Parolier BMR : Tina-Ève Provost · Prix du public Compositeur Familiprix : Pierre Alexandre · Prix ROSEQ : Marcie · Prix de la ChantEauFête de Charlevoix : Dylan Perron · Prix des Francouvertes : Marcie · Prix Chansonneurs chanson canon Sirius XM : Louis P. Gingras pour la chanson J'ai quand même le droit de chanter du country · Prix Compositeur-Parolier Chanson Canon Sirius XM : Tina-Ève Provost et Pierre Alexandre pour la chanson Des siècles ensemble · Prix Audace Chansonneur Desjardins : Louis P. Gingras · Bourse Télé-Québec : Marcie · Prix Pauline-Julien CALQ : Marcie · Prix de la Fondation du patrimoine de Gilles Vigneault : Félix-Antoine Couturier · Prix UDA pour le charisme et la présence sur scène : Félix-Antoine Couturier · Prix Chanson Primée SOCAN : Louis P. Gingras pour la chanson Andromède · Prix des Monumentales : Liliane Pellerin et Anaïs Constantin · Prix du public chansonneur Hydro-Québec : Dylan Perron · Prix de la plus belle plume Boréale : Tina-Ève Provost · Prix du plus bel air Cogeco : Nadia Essadiqi · Prix Artisti pour la meilleure interprétation : Marcie · Prix de l'enregistrement studio Sirius XM : Louis P. Gingras · Prix Lise Blanchard : Louis P. Gingras · Prix Lise Raymond : Louis P. Gingras |
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| C'est toute une machine qui devait se déplacer jusqu'à Petite Vallée (Cloridorme
en fait) pour nous présenter une soirée qui restera gravée longtemps dans
la mémoire des gaspésiens, Les 12 hommes rapaillés chantent Gaston Miron.
Cette oeuvre magistrale, mise en musique par le gaspésien d'origine Gilles
Bélanger ne cesse de remporter les honneurs depuis le lancement du premier
disque, et à voir le spectacle, on comprend facilement pourquoi. Toute
la beauté de cet art qu'est la chanson s'y retrouve: de grandes voix, une
passion commune pour les mots, un sens inné de la musique et une mise en
scène impeccable. Pour cette représentation, les 12 hommes prenaient les traits de Pierre Flynn, Daniel Lavoie, Michel Rivard, David Marin, Michel Faubert, Vincent Vallières, Martin Léon, Louis-Jean Cormier, Yann Perreau, Richard Séguin, Yves Lambert, Michel Faubert et le compositeur lui-même, Gilles Bélanger. De ses propres mots, M. Bélanger se qualifie de rassembleur, de rapailleur même pourrait-on dire. C'est ce qui lui a permis de repêcher des chanteurs d'au moins trois générations, des années 70 aux années 2000 pour ce projet unique qui pourrait facilement dépasser les frontières du Québec. Difficile de trouver une salle assez grande pour accepter tous les spectateurs qui se sont arrachés les billets jusqu'au dernier. C'est donc à l'église de Cloridorme, lieu même de la présentation du spectacle de la Petite École en hommage à Michel Fugain et Catherine Major, que le tout s'est déroulé. Il s'agit de la seule salle de la région à pouvoir accueillir au moins 900 personnes mais il fallait y installer toute la technique sonore et visuelle nécessaire à une prestation de cette envergure. Le défi a été relevé avec brio, le son était impeccable et les effets visuels et d'éclairage bien au point. Telle une messe mettant en vedette les 12 apôtres (citation empruntée à Benoit Gautier) et les mots de Jésus (Miron), la soirée s'est déroulée en une seule partie de plus de deux heures pendant lesquelles on aurait entendu une mouche voler. Chapeau aux spectateurs pour un tel respect de l'oeuvre Bélanger/Miron. Félicitations aussi aux excellents musiciens, Mario Légaré (basses), François Lafontaine (claviers), Guido Del Fabbro (violon), Hugo Perreault (guitares) et Marc-André Larocque (batterie), qu'accompagnaient aussi à la guitare acoustique, Louis-Jean Cormier. On a aussi peu entendre les accordéons de M. Lambert et Bélanger, ainsi que l'harmonica de Richard Séguin. Puissant je vous dis ! |
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 Dimanche le 1er juillet, 12hIsabeau et les Chercheurs d'or, suivi d'Éric Goulet Après un copieux déjeuner à l'omelette western, deux ensembles donnant particulièrement dans la musique country se sont succédés sur la scène de la Vieille Forge en ce début d'après-midi. En premier lieu, c'est Isabeau Valois et son groupe Les chercheurs d'or qui ont présenté plusieurs extraits de leur premier album, des compositions du groupe mais aussi des interprétations de classiques du genre. Avec un son qui nous ramène aux racines de la musique country, incluant banjo et mandoline, le groupe de Québec nous a fait passer un excellent moment musical. En deuxième lieu, un routier qui a plusieurs cordes à son arc, réalisateur de disques (Vincent Vallières, Isabeau et les Chercheurs d'or, etc), auteur compositeur (Renée Martel, etc), guitariste (WD-40, etc), leader du groupe Les chiens et finalement personnage musical (M. Mono), Éric Goulet nous présentait le matériel du premier album qu'il lançait plus tôt cette année sous son propre nom, intitulé simplement Volume 1. Accompagné de ses musiciens, il nous a aussi impressionné avec l'énergie de ses chansons. Avec les deux artistes de ce dimanche, on peut dire que le country prend résolument un regain de jeunesse et on pourrait en entendre beaucoup plus au cours des prochaines années. Un brunch country western qui a un goût de revenez-y ! |
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 Lors de cette deuxième vague de chansonneurs, nous avons pu découvrir et
approfondir le talent de Hans Heinrich, Félix-Antoine Couturier, Marcie
et Louis-Philippe Gingras, de même que les compositions musicales de Nadia
Essadiqi et Pierre Alexandre. Ces deux derniers ont été présentés par Pierre
Flynn, co-arrimeur avec Edgar Bori des sessions de travail entre paroliers
et compositeurs. Le public était appelé à départager les musiques qui ont
été créées sur place lors des ateliers. Difficile évidemment de faire un
choix puisque chacun méritait amplement ce prix. Nous découvrirons plus
tard qui aura été choisi, par contre nous savons maintenant que Tina-Ève
Provost a remporté le prix du public pour ses textes présentés la veille.La soirée s'est mise en branle sur les toujours excellentes chansons du passeur Michel Fugain et de la muse du festival, Catherine Major. Après quoi les quatre chansonneurs de ce soir nous ont chacun offert une chanson, histoire d'effleurer seulement la profondeur de leur univers. Après les présentations des musiques en compétition, chacun des chansonneurs est remonté sur scène pour nous présenter leurs deux chansons suivantes. Chacun à leur façon, ils ont puisé dans leurs plus belles créations pour charmer une salle comble qui en redemandait. Selon le directeur de l'événement, cette soirée a marqué une première dans l'histoire récente de l'événement, tous les billets ont été vendus et près de la moitié du public a parcouru plus de 100 km pour venir les entendre. C'est bon pour la chanson et c'est prometteur pour l'avenir ! |
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 Samedi le 30 juin, 15hLisa Leblanc et Anique Granger C'est la fête encore plus qu'à l'habitude à la Vieille Forge cet après-midi pour le retour très attendu de Lisa Leblanc à Petite Vallée. Sélectionnée en 2010 pour la cuvée des chansonneurs de la 28ème édition, un an après avoir participé aux Rencontres qui chantent au même endroit, la très extravertie représentante de Rosaireville en a mis plein les oreilles au public rassemblé pour l'applaudir. La salle était pleine à craquer, les gens s'agglutinaient devant les écrans extérieurs, tout le monde voulait saluer l'originalité, la candeur, le charisme et le grand talent de cette "fille de la place". Parce quand tu passes par Petite Vallée, quand les gens vibrent au son de tes chansons, tu deviens une fille (ou un gars)de la place, parlez-en à Daniel Boucher, Catherine Major et tous ceux qui sont passés par ici dans la passé. Ils ont l'impression de retourner au bercail quand ils foulent les planches de la vieille forge. Le public d'ici aime la chanson, Lisa aime la chanson, elle y insuffle un vent de renouveau, une sorte d'ouragan de tendresse qui court-circuite tous les styles établis. On a droit à un univers direct et franc, un style électrisant tout en restant bien personnel, un beau retour salué de chaleureux applaudissements. En première partie, le public des deux vallées a eu droit à une une solide performance d'Anique Granger qui a aussi fait partie des Rencontres qui chantent il y a déjà 7 ans. La talentueuse jeune femme, originaire d'un îlot francophone à Saskatoon dans l'ouest canadien, nous a partagé les pièces de son plus récent album intitulé Les outils qu'on a. Armée d'un jeu de guitare pas ordinaire, Anique nous a charmé avec ses textes empreints de grands espaces et de chaleur humaine. |
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 Cette fois, c'est pour de vrai, les chansonneurs de la première vague nous offraient leur prestation complète accompagnée de l'équipe de musiciens du festival. Chacun y présentaient 3 chansons de leur répertoire, dont une avait été particulièrement travaillée avec l'un des musiciens officiels, question de lui donner une couleur originale, précédée d'un texte de présentation qui la mettait en contexte.Il est difficile de départager ces univers à la fois différents et convergents, chaque artiste offrant un style et une présence scénique différente, on comprend donc facilement pourquoi les organisateurs du Festival ont choisi de ne plus faire de choix et d'éliminer l'élimination. Depuis 5 ans maintenant, le Festival de Petite Vallée ne fait plus de grand gagnant, mais plutôt 12 gagnants, chansonneurs, paroliers et compositeurs qui vivent une dizaine de jours intenses de création et de compagnonnage, un moment qui servira de point de lancement pour des carrières qu'on leur souhaite fébriles, telles celles des Daniel Boucher, Catherine Major, Isabelle Boulay et, plus récemment, Lisa Leblanc qui sera justement en spectacle cet après-midi sur la scène de la Vieille Forge. Parmi mes coups de coeur ce soir, hormis les prestations toujours intenses de Catherine Major et Michel Fugain, le sens du rythme du duo Pellerin / Constantin, la magnifique chanson d'Edouard Dumoulin sur l'Alzheimer, le gros rock pesant de Phil Moreau et le retour aux racines de Dylan Perron. En prime au milieu du spectacle, nous avions droit aux mots résonnants de Tina-Ève Provost et Bilbo Cyr, paroliers travaillant avec Edgar Bori et Pierre Flynn depuis le début de la semaine. Le public devait choisir leur coup de coeur, le mien va à la création et au talent des deux faiseurs d'histoires ! On se reprend ce soir pour la deuxième vague ! |
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| C'était une magnifique soirée de retrouvailles ce soir dans le confort de la Vieille Forge. La grande gagnante du 20 ème Festival (en 2002) revenait sur les planches qui l'avaient révélée au public gaspésien et éventuellement à toute la francophonie, qui ne cesse de saluer son grand talent de mélodiste. La chaleureuse Catherine compte maintenant 3 albums qui ont chacun fait leur marque, notamment son plus récent Le désert des solitudes dont elle nous a joué la majeure partie ce soir, entrecoupée de quelques extraits de ses albums précédents, notamment la pièce La voix humaine, magnifiquement interprétée en duo avec Alexandre Désilets sur disque, mais reprise ce soir avec l'aide du passeur 2012, Michel Fugain. Tout au long de sa prestation, Catherine a invité des amis à venir la rejoindre sur scène, commençant par une favorite des deux vallées, Marie-Pier Fournier, suivie dans l'ordre d'Émile Proulx-Cloutier, Daniel Lavoie, Michel Fugain et finalement son amoureux, un autre formidable auteur compositeur, Jeff Moran. C'est accompagnée de ses musiciens Mathieu Désy (basse, contrebasse), David Laflèche (guitares, yukulele) et Alex McMann (batterie, piano) qu'elle a charmé le public pendant plus de deux heures incluant trois rappels. Non seulement Catherine nous fait partager des émotions à fleur de peau avec sa musique qui peut passer du classique au rock dans des envolées dignes des plus grands compositeurs, mais les textes qu'elle a choisi de mettre en musique sont tout aussi sensibles et doublent les émotions au coeur de l'auditeur. Je tiens à noter la magnifique chanson Chanter c'est prier deux fois qui lui a été inspirée lors d'un séjour dans une famille haïtienne de Montréal. Une artiste intègre dans toutes les facettes de son art, une perle de la chanson québécoise ! |
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 Jeudi le 28 juin, 15hXavier Lacouture En après-midi, Petite Vallée accueillait pour une première fois en ses murs l'auteur compositeur Xavier Lacouture qui est un habitué du Festival de Tadoussac depuis de nombreuses années. C'est avec beaucoup d'humour et d'amour qu'il a mis le public dans sa poche. Armé de ses mots et d'un sens de l'humour fort à propos, M. Lacouture a fait honneur à la réputation que le précède. J'avais eu l'occasion d'entendre ses chansons lors d'une soirée hommage qui lui avait été consacrée à Montréal il y a quelques années, alors de fut un réel plaisir de les découvrir dans la bouche de l'auteur même. Un personnage qu'il fait bon découvrir ! |
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| Première occasion de soir de découvrir les chansonneurs sélectionnés pour
la trentième édition du Festival. D'entrée de jeu, c'est Monique Giroux
qui est venue faire un petit clin d'oeil à sa dizaine de participations
au festival à titre d'animatrice. Avec un humour qui lui est propre, elle
a mis la foule dans sa poche et en a profité pour présenter les invités
de marque de cette année, le passeur Michel Fugain et la muse du festival,
Catherine Major. Que de chemin parcouru pour la lauréate de l'année 2002,
une reconnaissance qui ne cesse de grandir avec ses trois albums qui ont
ravi critiques et grand public. Quant au passeur, difficile d'oublier les belles années où il était associé au Big Bazar pour nous offrir des classiques comme Bonjour monsieur le monde, Une belle histoire, Les gentils les méchants, La fête, etc. Il en a profité pour nous présenter un extrait tiré de son vaste répertoire et ainsi découvrir la chaleur de l'accueil à Petite (et Grande) Vallée. Par la suite, l'animation a été confiée à Louis-Jean Cormier (Karkwa) qui nous avait concocté quelques présentations en chanson pour l'organisation et les musiciens. Avec une certaine fébrilité et le coeur plein d'espoir, les 8 chansonneurs sont ensuite montés sur scène tour à tour, question de présenter deux chansons chacun et ainsi se mouiller les pieds pour une première fois sur la scène du Centre Socio-Culturel de Grande Vallée. Seule occasion aussi pour le public de voir et d'entendre tous les chansonneurs le même soir et ainsi voter pour l'artiste qui sera choisi comme coup de coeur du public. Un choix toujours difficile mais combien apprécié par les artistes qui le reçoivent. Au cours des prochains jours, nous aurons l'occasion de découvrir plus en profondeur le talent de ces artistes de la relève, de même que les artistes compositeurs (Nadia Essadiqi, Pierre Alexandre) et paroliers (Tina Ève Provost, Bilbo Cyr). On souhaite donc la meilleure des chances à Félix-Antoine Couturier, Phil Moreau, Dylan Perron, eD (Édouard Dumoulin), Louis-Philippe Gingras, Marcie, Liliane Pellerin & Anaïs Constantin, ainsi que Hans Heinrich. |
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| Mardi le 26 juin 2012 La Petite École de la Chanson rend hommage à Michel Fugain et Catherine Major
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Je n'ai malheureusement pas pu assister à ce grand moment de chaque festival qu'est la présentation du spectacle de plus de trois-cent enfants de la Gaspésie célébrant le passeur et la muse du festival dans l'église de Cloridorme, question d'horaire, mais je peux quand même vous offrir quelques photos gentiment prêtées par mon collègue André Bujold.