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Chansons à Double Dose - Printemps 2007 |
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(Textes et photos: Jean-Pierre Pellerin) | ||||||||||||
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Une soirée entre amis. En effet nos deux invités sont de véritables amis et
le respect qu'ils se portent n'est pas une comédie.
Ce fut Carl Savard qui ouvrit la soirée. Celui qui avec ce petit air qui nous rappelle Hardy
du fameux duo Laurel et Hardy, a su établir un contact chaleureux avec
le public. Seul à la guitare, il nous a présenté l'espace d'une heure son
univers. On sent chez cet artiste la générosité qui l'habite et aussi un
sens de l'auto-dérision. J'ai particulièrement retenu Le Roi d'Hollywood, La porte de
chez-moi et Planète mère (paroles et musiques de Carl
Savard).
Carl que nous reverrons en août à Chansons à Double Dose.
Puis après la pause, ce fut celui qui est connu sous le nom de
L'Évêque. S'accompagnant à la guitare, il s'était entouré de
Jodel Poulin à la guitare, de Julie Valois au
piano et aux voix et de Martin Adams aux percussions, il nous a présenté avec beaucoup de dynamisme son univers.
On le sentait constamment en contrôle et il a rapidement gagné l'attention
du public. Je trouve qu'il est une véritable bête de scène et qu'il a des
textes bien ficelés. J'ai bien aimé Sans collier, ni laisse, Insolent et
Elle et loup (paroles et musiques de Hugo Lévesque). L'Évêque a invité, à l'intérieur
de son spectacle, Julie
Valois. Celle-ci nous a présenté quatre de ses chansons accompagné par
Jodel Poulin à la guitare. Julie que nous aurons le plaisir s'accueillir le 8 juin
à Chansons à
Double Dose.
Les hasards de la programmation ont fait en sorte que nous accueillions
L'Évêque à Chansons à Double Dose et que Anick
Bérubé présentait son spectacle au P'tit Bar. Pourquoi je souligne ce fait ? Tout simplement parce que tous les deux
se retrouvaient en compétition le lundi suivant pour la finale auteur-compositeur-interprète
dans le cadre du concours Ma première
Place-des-Arts. Avant de terminer ce texte, j'apprenais que L'Évêque était déclaré le
grand gagnant de ce concours tandis qu'Anick se méritait le prix de la
chanson de l'année pour La veuve de Thomas Grant (paroles et musique de Anick
Bérubé).
Au plaisir de vous voir, ou de vous revoir, lors de notre prochain
spectacle.
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Tous les artistes de la soirée |
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Pour cette soirée, nous recevions Les Castors célestes mais sans Les
Castors célestes. En effet, Sylvie Royer et Thierry Fortuit nous présentaient à
tour de rôle leur propre matériel.
C'est d'abord Thierry Fortuit qui nous a présenté ses chansons. S'accompagnant à la guitare, il a
su de sa voix grave nous amener dans son périple. Moi qui suis plus habitué
à l'entendre dans le cadre des Castors célestes, je trouve quand même malheureux
qu'il ne chante pas plus souvent ses chansons. J'ai apprécié Marie, La ballade du clochard et Ce que
j'avais perdu (paroles et musiques de Thierry Fortuit).
Après la pause, ce fut au tour de Sylvie Royer de venir nous présenter ses nouvelles chansons. S'accompagnant au piano,
et accompagné de l'excellente Hélène
Boissinot au violoncelle, elle a présenté son univers avec beaucoup
plus d'assurance que la dernière fois où je l'avais entendu à Chansons à
Double Dose. On sent que ces deux-là se comprennent très bien et c'est le spectateur
qui en profite. La voix de Sylvie atteint le sublime sur Rien d'important (parole
et musique de Sylvie Royer). Et que dire du jeu de Hélène sur Confidence
(paroles et musique de Sylvie Royer) ? D'une beauté à nous faire pleurer
! Je retiens particulièrement Profite-en, Confidence et
J'irai (paroles et musiques de Sylvie Royer).
Une soirée qui fut pour moi un moment de pur bonheur. Au plaisir de vous
voir, ou de vous revoir, lors de notre prochain spectacle.
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Hélène Boissinot |
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Ce soir nous recevons deux chanteurs de générations différentes, de milieux
différents et de langues différentes.
Le premier à se présenter sur scène est Taxi John. Cet
auteur-compositeur-interprète est originaire de Hamilton en Ontario. Son surnom
de Taxi John lui vient du fait qu'il a été chauffeur de taxi durant plusieurs
années à Toronto. Il habite maintenant Montréal depuis quelques années et les habitués du P'tit Bar, de Entre le Rouge et le Noir et, même ceux, de
Chansons à Double Dose peuvent le côtoyer tout en ne sachant pas qu'il
est chanteur.
Seul à la guitare, il nous a durant trente minutes présenté ses chansons
écrites en anglais - il compte trois disques à son actif - et, oh surprise! , en
français. Il y a de la naïveté dans ses textes, et particulièrement ceux écrits
en français. Sa musique est un mélange de country-folk et de blues. J'ai apprécié Un espresso allongé, Snowstormin' Women et
Low Life Blues (paroles et musiques de John Awde).
Puis ce fut au tour de Max Ricard de venir nous présenter ses textes. Cet auteur compositeur interprète
de grand talent nous a, durant quatre-vingt-dix minutes, présenté un florilège
de ses chansons. Seul à la guitare, avec une énergie débordante et une présence toute naturelle
en scène, il a su conquérir le public présent. La première fois où je l'ai entendu, lors d'une prestation de trente
minutes, ce fut un véritable coup de tonnerre. Je suis toujours sous le charme
et ce n'est pas la dernière fois que mous l'entendrons au Double
Dose. Rien n'est à jeter chez cet auteur qui écrit de véritables bijoux et dont
la musique les habille très bien.
Il nous a présenté trois chansons inédites : 1 heure ½,
Le monde qui passe et Toujours plus (paroles et musiques de
Max Ricard). Je retiens parmi ses chansons, mais c'est tellement restrictif, Empire, Le monde qui passe et Workaholic Blues
(paroles et musiques de Max Ricard).
Une soirée qui fut appréciée par le public et deux artistes qui se sont
bien entendus. Au plaisir de vous voir, ou de vous revoir, lors de notre prochaine soirée.
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Tous les artistes de la soirée |
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On peut parler, du moins pour moi, d'une soirée découverte puisque l'un des
artistes m'est complètement inconnu et je n'ai vu l'autre qu'une seule
fois.
C'est Martin Roch, auteur-compositeur-interprète de la
région de Lanaudière, qui ouvre la soirée. Martin que j'avais eu le plaisir
d'entendre il y a peu à Entre le Rouge et le Noir. S'accompagnant à la guitare et soutenu par Michel Samson,
lui aussi à la guitare, il nous a durant une heure présenté son univers.
Ce sont deux excellents guitaristes et il existe une très belle complicité
entre eux. Martin a su interagir avec le public, y allant avec son humour et son
sens de l'auto-dérision. J'ai particulièrement retenu Espérance, Ma vie et
Tombé à l'eau (paroles et musiques de Martin Roch).
Après la pause, c'est au tour d'un duo, Les Infidèles, de
monter sur scène. Ce duo est composé de David Gagné aux voix, à
la guitare et à l'harmonica, et de Robin Rousseau à la
basse. On sent chez eux un peu de tâtonnement dans leur répertoire. Il y a du
travail à accomplir et je ne crois pas qu'ils soient encore prêts pour
une performance d'une heure. Il est évident qu'ils ne peuvent que s'améliorer.
Une soirée somme toute inégale mais néanmoins intéressante. Au plaisir de vous voir, ou de vous revoir, lors de notre prochain
spectacle.
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Nous inaugurions ce soir nos soirées Pleins feux sur. Ces soirées auront lieu les dimanches et débuteront à 20h. Notre intention
est d'inviter des artistes qui présenteront un spectacle d'une durée de
deux heures. Pas nécessairement des vétérans mais des artistes qui ont
une maturité artistique et du matériel original.
Il était plus que normal, du moins pour moi, que nos premiers invités
soient le duo Monique Paquin et Landriault. De plus, cette journée avait un caractère spécial puisque c'était l'anniversaire
de naissance de Landriault. Accompagnés par l'excellent Marc-André Cuierrier au piano, ils nous ont, pendant près de deux heures, présenté
leur répertoire ainsi que quelques unes interprétées en solo. Avec beaucoup d'intensité et d'émotivité, ils sont su capter l'attention du
public et, surtout, de le garder jusqu'à la fin. On sent de plus en plus l'homogénéité et la complicité de ce duo. Plus
le temps passe et plus ils sont en contrôle et meilleur c'est pour nous. On dit souvent que les absents ont tort, dans ce cas-ci c'était vrai. Il n'y a rien à jeter dans leur répertoire et je ne veux pas être redondant
en vous redonnant des titres de chansons, qui d'une fois à l'autre me touche.
Je ne signalerai que les nouveautés et le retour de certaines que j'aime
bien. Une toute nouvelle Double solitude (paroles et musique de Monique
Paquin et de Landriault) dont j'avais souligné la première jeudi dernier. Une
très belle chanson qui va trouver son souffle au rythme de leurs
prestations.
J'ai apprécié le retour de Les p'tites filles (paroles et musique
de Claude Semal).
Monique est retournée à son ancien répertoire pour nous offrir
Marcel (paroles de Monique Paquin, musique de Marc-André Cuierrier). Et
puis, elle nous en a offert une toute nouvelle dont elle n'est pas l'auteure,
Ali Baba (paroles de Alain Paquin, musique de Monique Paquin). Pour ne pas être en reste, Landriault a puisé lui aussi dans son répertoire
pour nous présenter des chansons un peu moins connues comme Cybelle et
Je me silence de vous (paroles et musiques de Landriault). Et puis une
chanson qu'il a écrite en très peu de temps pendant les fêtes de Noël, Mais
quand je parle d'elle (paroles et musique de Landriault) et qui est une
magnifique déclaration d'amour.
Une soirée magnifique pour les gens présents et qui, j'ose l'espérer, se
répétera sous peu. Au plaisir de vous voir, ou de vous revoir, lors de notre prochain spectacle.
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Je ne sais pas si l'on peut parler de vétérans dans le cas de nos deux
invités de ce soir mais, à tout le moins, on peut dire qu'ils ont l'expérience
de la scène durement acquise.
Pour débuter, ce fut Jean-Hugues Labrecque auteur-compositeur-interprète. Délaissant son groupe Les Créanciers, il
se présentait en solo et s'accompagnait à la guitare. Pendant une heure,
il nous a montré d'où il venait et où il allait et ceci à travers ses chansons
ou celles d'autres auteurs. Occupant l'espace et sachant se faire entendre,
il a débuté son spectacle avec Des mitaines pas de pouce (paroles et musique de Ovila Légaré) et
il l'a terminé avec La cut (paroles et musique de Jean-Hugues Labrecque). Je retiens particulièrement
Quelque chose à dire - qu'il chantait
pour la première fois ce soir - et C'est pas grave (paroles et musiques
de Jean-Hugues Labrecque).
Au retour de la pause, ce fut au tour de l'auteur-compositeur-interprète
Jean Marcaurelle de nous présenter son univers. Lui aussi était
en formation réduite puisqu'il n'était accompagné que par Jérôme
Champagne-Simard, à l'accordéon et aux voix. S'accompagnant à la guitare il nous a
offert des textes à connotation sociale sans être un ramassis
de prêchi-prêcha. J'ai particulièrement apprécié C'est plus facile, Et elle
danse dans ma tête et Laissez voyager nos chansons (paroles et
musiques de Jean Marcaurelle).
Au plaisir de vous voir, ou de vous revoir, lors de notre prochaine soirée.
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Pour ouvrir la soirée, nous recevions le groupe vocal
Java. Ce groupe est composé de Anne Lassonde,
Margerie Lay, Stéphanie Beaulieu et
Delphine Véronneau. On peut aimer ou ne pas aimer ce genre musical mais lorsque quatre voix
harmonieuses se mêlent, on ne peut y prendre que du plaisir et le public
présent l'a bien démontré. Pendant une heure, elles nous ont dévoilé leur
talent en interprétant des chansons plus ou moins connues des répertoires
québécois, français et américain. Je retiens particulièrement Le chat (paroles et musique de G.
Peram), Hymne à la beauté du monde (paroles de Luc Plamondon, musique
de Christian St-Roch) et And So It Goes (paroles et musique de Billy
Joel).
Pour la suite du spectacle, ce fut au tour de Isabelle
Larrivée, auteure compositeure interprète, qui se présentait en formation
réduite. En effet, elle n'était accompagnée ce soir que de Paul Bouchard au piano, à la guitare et au saxophone. Elle nous a encore offert un excellent
spectacle comme à son habitude. Je retiens particulièrement Les anges oubliés, Marilyne
et Feuilleton Verlaine (paroles et musiques de Isabelle
Larrivée).
Encore une fois, une excellente soirée appréciée du public. Au plaisir
de vous voir, ou de vous revoir, lors de notre prochaine soirée.
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Tous les artistes de la soirée |
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Ce soir nous recevions un duo en provenance du Vermont aux États-Unis. Eh
oui de la chanson anglophone! J'ose croire que l'on ne croit pas que
l'intelligence des mots n'appartient qu'à la langue française.
Mais avant d'y aller avec notre programmation prévue, ce fut le duo
Monique Paquin et Landriault qui est venu nous
offrir la primeur d'une toute nouvelle chanson Double solitude (paroles et musique de Monique Paquin et Landriault). Cette chanson est
une réflexion sur la mort des gens et ses conséquences sur ceux qui vivent
le deuil. A la première écoute, je trouve que c'est une chanson qui doit
être apprivoiser pour bien en saisir la réflexion.
Ce fut le duo Sam & Terry qui ouvrit officiellement la
soirée. Ce duo est composé de Samantha Moffatt aux voix et au
dulcimer à marteau - un instrument composé de 78 cordes - et de Terry
Diers aux voix et à la guitare. Ce duo est dans la plus pure tradition folk
américaine : celle qui faisait la tournée des "coffeehouse" dans
les villes américaines dans les années soixante. Plusieurs des chansons,
qu'ils ont interprétées ce soir, ont été écrites par Terry. Ils nous ont
aussi présentés des chansons traditionnelles américaines, dont plusieurs
provenant de la Louisiane. Terry a un petit côté bluesy dans la voix
et dans la guitare, tandis que la voix de Samantha est dans la plus belle
tradition irlandaise. Un spectacle qui fut apprécié par le public. Je retiens
particulièrement aimé Cajun Country, New Orleans
Girl et Coyote Blues (paroles et musiques de Terry Diers).
Pour clôturer cette soirée, ce fut à l'auteur-compositeur-interprète,
Jean-Marie Pelletier, originaire de la vallée
de la Matapédia, de nous présenter ses chansons. S'accompagnant à la guitare, il
nous a offert ses chansons écrites à l'époque où ils faisaient la tournée des
boîtes à chansons. Il s'est fait plaisir, et par le fait même à nous aussi, en
interprétant quelques chansons de celui qui considère comme son maître, Félix
Leclerc. Il a su choisir parmi les chansons de Félix Leclerc celles qui sont peu
connues afin de nous montrer toute leur beauté (Le Québécois,
Contumace et La Fête entre autre). Toujours aussi en verve, Jean-Marie a tenu le public en haleine avec ses
textes de présentation de ses propres chansons. Un public conquis et heureux
de cette prestation. Je retiens particulièrement La rumeur, Le Robot,
Lorsque l'amour est fatigué et Mon ami Pierrot (paroles et
musiques de Jean-Marie Pelletier).
Au plaisir de vous voir, ou de vous revoir lors de notre prochain
spectacle.
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C'était une soirée particulière pour nos deux invités et pour Chansons à Double Dose. En effet, nous recevions sur la même scène la mère et le fils! Vous avez
dit intense? Si nous avions harnaché ces deux-là, il y aurait eu assez
d'énergie pour éclairer la ville de Montréal.
C'est Félix Soude qui a ouvert la soirée. S'accompagnant à la guitare acoustique et à la
guitare électrique, les pieds bien ancrés sur la scène, il a pris à bras
le corps ce public qui ne demandait qu'à être séduit. Avec cette fougue
et cette intensité qui lui sont si familières il a su faire la conquête
de ce public attentif et bon enfant. Félix a eu la bonne idée d'inviter
un de ses amis, Antoine
DeVillers, à venir nous chanter deux chansons. Antoine, qui est originaire
de Lafontaine en Ontario, nous reviendra au mois de mai pour partager ses
chansons avec nous. Je suis un inconditionnel de Félix et, ce soir, j'ai
particulièrement été touché par Immobiles (paroles et musique de Félix Soude).
Puis ce fut au tour de celle que tout le monde attendait, Hélène
Billette. Celle dont j'ignorais l'existence et la carrière il y a peu, avait décidé
de renouer avec la scène après une retraite de dix ans. Elle, dont la carrière
l'avait menée à Paris, nous faisait l'honneur et le plaisir de choisir
Chansons à Double Dose pour effectuer ce retour. S'accompagnant tour à tour à la guitare et au
piano, elle nous a présenté un florilège de ses chansons. Tantôt tendre,
tantôt humoristique ses chansons ont su toucher le coeur des gens. Maniant
très bien le verbe, elle a établi un véritable contact avec le public,
allant même jusqu'à le faire participer sur plusieurs chansons. Je pourrais
vous donner presque tous les titres de ses chansons mais je ne citerai
que celles-ci : Bête de scène, Coeurs d'épris et
Les sans abris (paroles et musiques de Hélène Billette). J'ose espérer que cette fois-ci
elle ne mettra pas dix ans à remonter sur scène. De toute façon, elle aura
toujours une place au Double
Dose.
Au plaisir de vous voir, ou de vous revoir, lors de notre prochaine soirée.
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Tous les artistes de la soirée |
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Soirée animée par Monique Paquin, Landriault et moi-même.
C'était pour Chansons à Double Dose notre soirée mensuelle de Sourire d'enfant. Cette soirée, ainsi que toutes celles qui suivront sous ce vocable, a pour but d'amasser des denrées non périssables pour des familles démunies. Cette fois-ci, c'est l'organisme Les Enfants de Béthanie (www.ledb.org) qui était le bénéficiaire de cette collecte. Les Enfants de Béthanie est un organisme voué à venir en aide aux enfants atteints du sida. Quatorze artistes bénévoles, toutes générations confondus, ont investi le Double Dose, offrant chacun quelques chansons à un public nombreux et chaleureux. Ils ont aussi apporté leur contribution personnelle à cette quête humanitaire. Ce sont la marraine et le parrain, Monique
Paquin et Landriault, qui ont ouvert la soirée
en nous interprétant Entre deux (paroles et musique de
Landriault).Puis c'est Francis Halin, le chantre des
poètes qui nous offrent À l'ombre de ma vie (paroles de Roland Giguère,
musique de Francis Halin), La belle fille blessée (paroles et musique
de Francis Halin) et, pour terminer, Séquences (paroles de Gaston
Miron, musique de Francis Halin).
Virginie Rigoine, s'accompagnant au piano,
nous a offert entre autre Un soir de pluie (paroles de Clémence Lhomme,
musique de Jacques Davidovicci) et Comme dans un film de Lelouch
(paroles de Landriault, musique de Virginie Rigoine). Marie-Suzanne Brossoit, notre seule
interprète de la soirée, a su faire revivre Les gens qui doutent
(paroles et musique de Anne Sylvestre) ainsi qu'une très émouvante version
de La vie d'factrie (paroles de Clémence DesRochers, musique de Jacques
Fortier). Virginie Rigoine l'accompagnait au piano.
Normand Grégoire, qui ce soir se prenait pour un géologue, avait fouillé les différentes
strates de son oeuvre pour nous offrir trois chansons provenant des
débuts des années 70. Vincent Vallat, cet
auteur-compositeur-interprète suisse, que nous recevions à Chansons à Double
Dose il n'y a pas très longtemps, nous a offert entre autre Le vieux poète (paroles et musique de Vincent Vallat) ainsi que
Barcelona (paroles et musique de Vincent Vallat). Max Ricard que j'avais découvert la veille et
qui, malgré ma demande tardive, a accepté de venir nous chanter trois chansons
de son album Épisode (s) dont Empire (paroles et musique de
Max Ricard).
Marie Delaval qui était ce soir en formation
solo nous a offert sa toute dernière, Ombre et lumière (paroles et
musique de Marie Delaval). Elle fut rejointe au piano par Landriault pour
Mai en décembre (paroles et musique de Marie Delaval). Félix Soude, toujours aussi énergique, et qui
malgré un spectacle à donner le lendemain, nous a offert trois chansons dont
L'expérience canadienne (paroles et musique de Félix Soude). Maude Payette Beauchesne, qui sera à La
Butte St-Jacques le 11 mai prochain, a su avec sa fraîcheur nous présenter
Le garçon mi-singe, mi-poisson (paroles et musique de Maude Payette
Beauchesne) ainsi que La dernière fleur (paroles et musique de Maude
Payette Beauchesne).
Tomy Paré, auteur-compositeur-interprète qui,
il y a peu participait au concours Ma Première Place-des-Arts, nous
offrait une très belle reprise de Toutes les nuits (paroles et musique
de Gaston Mandeville) ainsi que On est tous des poètes (paroles et
musique de Tomy Paré).Pierre Olivier Ouellet nous a démontré sa virtuosité à l'accordéon en nous interprétant une pièce
instrumentale. Il fut rejoint par Louis-André Bourque qui
avec sa truculence habituelle a mis une ambiance festive dans la place avec
entre autre, Judicieux appât (paroles et musique de Louis-André
Bourque).
Hélène Billette qui, malgré son spectacle du
lendemain, nous faisait l'amabilité de sa présence et elle a accepté de nous
faire une chanson. Avec la participation du public présent, elle nous a chanté
Quoi ! Quoi ! Quoi ! Quoi ! (paroles et musique de Hélène
Billette). Pour clore cette soirée, ce fut la marraine et le parrain de
Sourire d'enfant de nous présenter C'est la seule réalité
(paroles de Monique Paquin et de Landriault, musique de
Landriault).
Une soirée magnifique où le plaisir était autant sur scène que dans la
salle. Je souhaite remercier vivement tous les artistes qui se sont déplacés
pour chanter, je le rappelle, bénévolement. Remercier, aussi, un public
qui a su, par sa présence fidèle, apporter ainsi un soutien tangible à
ces familles en difficulté. Notre prochaine soirée Sourire d'enfant aura lieu le
vendredi 19 mai prochain. Faites-le savoir et venez nombreux soutenir, dans un
esprit de solidarité, cette cause humanitaire.
Je tiens à m'excuser auprès des artistes dont la photo
n'apparaît pas dans ce reportage, il ne s'agit d'un choix délibéré mais plutôt
d'un malfonctionnement de mon appareil photo.
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Landriault et Monique Paquin |
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Une soirée sortant de l'ordinaire pour Chansons à Double Dose
puisque nous recevions un spectacle concept.
Tout d'abord, pour ouvrir la soirée, Max Ricard,
auteur-compositeur-interprète. S'accompagnant à la guitare, il nous a présenté
durant une demie-heure des chansons tirées de son album Épisode (s). Des chansons humoristiques, des chansons caustiques mais jamais insipides
ou incolores. Il dit de lui-même qu'il est un chanteur de salon et ce fut
un plaisir pour nous de lui offrir une scène. Pour moi, ce fut un coup
de foudre et un coup de coeur. Fiez-vous à moi, nous risquons de
le voir souvent à Chansons à
Double et sa prochaine présence sera le 3 mai pour un spectacle de 90
minutes.
Puis ce fut au tour de Scène à 3, un spectacle concept réunissant
trois excellents auteurs-compositeurs-interprètes : Gaële aux
voix, au piano et à l'accordéon; Jipé (Jean-Philippe)
Dalpé aux voix, à la guitare, à la basse, à la trompette et au
flugelhorn; Dominique Bouffard aux voix, à la guitare, à la basse et à l'accordéon. Le principe de ce
spectacle est relativement simple : permettre à ces auteurs-compositeurs-interprètes
de faire connaître leurs chansons tout en se soutenant au niveau musical
et vocal. Comme, individuellement, ce sont trois artistes que j'aime bien,
j'étais gagné à l'avance par la perspective de les voir ensemble et
je ne fus pas déçu. Les voix se marient bien, les instruments sont efficaces.
Chacun a intégré quelques unes de ses chansons et ça nous permet de découvrir
ou de redécouvrir leurs chansons. Je retiens, ce qui n'est même pas un
moment musical mais un moment de vie, le rayonnant fou rire de Dominique
Bouffard.
Une merveilleuse soirée qui nous fait du bien au coeur. Au plaisir de vous
voir, ou de vous revoir, lors de notre prochaine soirée.
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Gaële, Jipé Dalpé et Dominique Bouffard |
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Tous les artistes de la soirée |
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On m'avait prévenu que ce serait une soirée avec des voix puissantes et ce
le fut.
Le premier à monter sur scène fut Patrick Olafson.
Montréalais d'origine, Patrick est plutôt connu comme interprète et,
particulièrement, avec son spectacle Patrick Olafson chante Michel
Legrand. Mais ce soir c'est l'auteur-compositeur-interprète que nous recevons.
Accompagné au piano de l'excellent Marc-André Cuierrier, il nous a pendant trente minutes présenter son univers. Il nous a fait entendre
toute la puissance et les nuances de sa voix. J'ai particulièrement apprécié
J'arrive (paroles et musique de
Patrick Olafson), Exil (paroles françaises de Patrick Olafson, musique
de Eithne Ni Bhraonàin) et Savoir (paroles de Patrick Olafson, musique
de Marc-André Cuierrier).
Puis ce fut au tour de Céline Faucher de venir nous
charmer avec son spectacle À la rencontre de Pauline Julien. Avec justesse et émotion elle nous a procuré quatre-vingt-dix minutes
de pur bonheur et de nostalgie. Accompagnée, elle aussi, par
Marc-André Cuierrier elle a offert un florilège des chansons écrites ou
interprétées par Pauline Julien.
Pour avoir vu ce spectacle à quelques occasions, j'ai pu constater l'ajout
de nouvelles chansons et le retrait de certaines autres. Il n'y a rien
à jeter dans ce répertoire mais, et c'est tout à fait subjectif, il y a
en qui nous touchent plus que d'autres : Comme je
crie...comme je chante (paroles de Gilbert Langevin, musique de François
Cousineau), Mommy (paroles de Gilles Richer, musique de Marc Gélinas),
L'homme de ma vie (paroles de Clémence DesRochers, musique de Pierre F.
Brault), Maman ta fille a un cheveu blanc (paroles de Denise Boucher, musique de Pierre Flynn). Je m'en voudrais
de passer sous silence une merveilleuse interprétation, selon moi l'une
des meilleures, de Est-ce ainsi que les hommes vivent?
(paroles de Louis Aragon, musique de Léo Ferré). Encore une fois du Céline
Faucher à son meilleur! Si vous voyez son nom quelque part, n'hésitez surtout
pas c'est du bonheur garanti. Céline a actuellement une souscription pour
son disque en devenir de ce spectacle. On peut obtenir plus d'informations
à cette adresse www.celinefaucher.com.
Au plaisir de vous voir, ou de vous revoir, lors de notre prochain
spectacle.
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Tous les artistes de la soirée |
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Je vais sembler me répéter mais ce fut encore, ce soir, une soirée de
première : un deuxième soir pour Vincent Vallat et une première présence à
Chansons à Double Dose pour Geneviève Toupin.
Encore une fois, c'est Vincent Vallat qui ouvrait la soirée. Soutenu par plusieurs de ses compatriotes Suisses,
il nous a offert une prestation plus longue. Toujours aussi intense et très
à l'aise sur scène, il nous a présenté un florilège de ses chansons. J'ajouterais
aux titres déjà cités dans mon reportage précédent, les titres suivants
: Décembre, Vie en sursis et Quand la vie se
cabosse (paroles et musiques de Vincent Vallat). Je retiens
particulièrement cette phrase provenant de Le vieux poète (paroles et
musique de Vincent Vallat) -"j'préfère ajouter d'la vie à mes jours que
d'additionner des jours à ma vie".
Et puis après la pause ce fut au tour de Geneviève Toupin de venir présenter son univers à un public chaleureux et enthousiaste.
Cette auteure-compositeure-interprète originaire du Manitoba nous a offert
une douzaine de chansons finement ciselées. S'accompagnant au piano, elle
s'était entourée de Anique
Granger, qui est aussi auteure-compositeure-interprète, aux guitares et aux voix et de
Guy Richer à la contrebasse. Rayonnante et généreuse sont deux mots qui, selon moi,
la décrivent très bien. Elle a une voix superbe que sa musique met en valeur.
Que dire du mariage de sa voix avec celle de Anique? Un pur délice pour
les oreilles et l'âme. Je retiens particulièrement Funambule, Gris, Reste
une nuit et Y'a du silence (paroles et musiques de Geneviève
Toupin). Je m'en voudrais de pas citer Orphan Girl (paroles et musique de Gillian Welch) sur laquelle les voix de Geneviève
et de Anique ont atteint un summum de pureté. Vous aurez compris que j'étais
sous le charme et que j'espère bien la revoir à Chansons à Double Dose.
Une soirée grandement appréciée par un public nombreux. Au plaisir de vous
voir, ou de vous revoir, lors de notre prochaine soirée.
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Tous les artistes de la soirée |
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Une autre soirée de première pour Chansons à Double Dose. En
effet, nous recevions notre premier invité étranger, plus particulièrement
Suisse.
C'est effectivement Vincent Vallat, auteur-compositeur-interprète originaire du Jura suisse qui a débuté
cette soirée. Ce n'était pas sa première visite au Québec puisqu'il a eu
l'occasion d'y chanter à plusieurs reprises. C'est d'ailleurs lors
d'une de ses prestation au Poulbots qui a fait la rencontre de Landriault.
Seul à la guitare et à l'harmonica, il nous a présenté des chansons provenant,
particulièrement, de ses deux derniers disques. Les pieds bien ancrés
sur la scène, c'est avec intensité qu'il a partagé avec nous ces chansons
que la plupart d'entre nous ne connaissions pas. J'ai particulièrement
apprécié Y'a l'feu à la distillerie,
Madame Ida, Le vieux poète,La politique nous nique et
Barcelona (paroles et musiques de Vincent Vallat).
Puis ce fut au tour du duo Monique Paquin et
Landriault de faire découvrir à certains, dont Vincent, leurs chansons. S'accompagnant
au piano, malgré une bursite, Landriault a réussi à bien tirer son épingle
du jeu. Pas encore de toutes nouvelles chansons mais un répertoire solide
et bien rôdé. Comme à l'habitude, mes préférées Comment te dire (paroles de
Monique Paquin et de Landriault, musique de Monique Paquin), Liberté
(paroles de Paul Éluard, musique de Landriault et de Marc-André Cuierrier) et
C'est la seule réalité (paroles de Monique Paquin et de Landriault,
musique de Landriault.
Une soirée un peu courte mais très appréciée. Au plaisir de vous voir,
ou de vous revoir, lors de notre prochaine soirée.
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Tous les artistes de la soirée |
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Une soirée toute féminine et remplie de contrastes avec deux auteures-compositeures-interprètes
dont c'était la première visite à Chansons à Double Dose.
Ce fut Claude-Andrée Caron qui ouvrit cette soirée.
Originaire de la région de Drummondville, elle est l'organisatrice des soirées
Entre le Rouge et le Noir à Drummondville. Claude-Andrée a toujours été, du moins pour moi, imprévisible
sur scène car elle est très spontanée. C'était pour elle la première
fois qu'elle présentait un spectacle de soixante minutes. S'accompagnant
tout à tour au piano et à la guitare, elle nous a fait découvrir son monde
qui ne manque pas d'humour et son sens de l'auto-dérision. A l'occasion
un peu brouillonne, elle a su dérider l'auditoire. J'ai apprécié Amuse-gueule, Loin d'être zen,
Matante - sur le temps qui passe - et La vie est bonne -
chanson qui, volontairement, enchaîne les clichés sur les joies de la vie.
Puis ce fut au tour de Mélisande de nous présenter ses chansons tantôt en français, tantôt en anglais,
avec des mélodies un peu plus pop. S'accompagnant à la guitare, elle était
accompagnée par Laurent
Aglat à la basse et aux voix. Très bonne guitariste et dotée d'une voix intéressante,
elle sait prendre possession de la scène. J'ai particulièrement apprécié
Encore une fois, Les maux de
l'âme et Coule le sang (paroles et musiques de Mélisande). Mélisande que nous reverrons en juin,
au même programme que sa cousine Julie Valois.
Au plaisir de vous voir, ou de vous revoir, lors de notre prochaine soirée.
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Tous les artistes de la soirée |
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Soirée animée par Landriault et moi-même. Une soirée tout en contraste
avec deux artistes provenant d'univers très différents.
C'est Paul Paulin, auteur-compositeur-interprète et
conteur originaire de l'Abitibi, qui part le bal. Pour ce faire, il s'était
entouré de Ron Capanna à l'harmonica et à la guitare et de
Joseph Simnovec à la basse. Pour sa part, Paul Paulin s'accompagnait à la guitare et à
la mandoline. Son spectacle était entrecoupé de monologue qui nous introduisait
ses chansons. Il nous sert des textes plein d'humour et de réflexions sur
la vie d'hier et d'aujourd'hui. J'ai particulièrement apprécié Entre le notaire et l'avocat - qui
a sa façon nous raconte sa vision de la vie de couple du mariage au divorce -,
La marmotte d'Afghanistan - ou la recherche de Ben Laden - (paroles et
musiques de Paul Paulin), ainsi qu'un monologue intitulé J'ai la vie. Celui-ci prévoit le lancement de son nouveau disque pour le mois de
mai.
Après la pause, ce fut au tour du duo Maroval, formé de
Marie Delaval et de Robert Marchand de venir nous présenter ses chansons. Ces habitués de Chanson à Double Dose ont su, malgré la crève qui frappait Marie, offrir leur matériel de façon
professionnelle. J'ai particulièrement apprécié, encore une fois, Voilée, La
première fois - une chanson qui a pour sujet l'inceste et que Marie fait
avec beaucoup d'intensité et d'émotion - et Mai en décembre (paroles et
musiques de Marie Delaval). Profitant de cette soirée, ils en ont cassé une
toute nouvelle Ombre et lumière (paroles et musique de Marie Delaval). Marie reviendra, cette fois-ci
en solo, au mois de juin.
Une soirée qui a semblé ravir le public présent. Au plaisir de vous voir,
ou de vous revoir, lors de notre prochaine soirée.
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Maroval (Robert Marchand et Marie Delaval) |
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Deux habitués de Chansons à Double Dose qui nous reviennent. Deux
auteurs-compositeurs-interprètes qui débordent d'énergie.
C'est Félix Soude qui ouvre cette soirée en s'accompagnant
aux guitares.
Toujours aussi intense, Félix nous a offert trente minutes de pur
plaisir.
J'ai particulièrement apprécié Rumeur au cerveau - qui me
semble-t-il est une toute nouvelle chanson - et Craignez l'homme d'un seul
livre (particulièrement si ce livre est un livre saint!) (paroles et musiques
de Félix Soude). Félix que nous reverrons le 21 avril en première partie
de sa mère, Hélène Billette.
Puis ce fut au tour de Louis-André Bourque de venir nous présenter un spectacle de 90 minutes cette fois-ci. Comme
à l'accoutumé, il était accompagné par les excellents Jérôme
Hébert à la contrebasse et Pierre-Olivier Ouellet à
l'accordéon.
Il nous a offert un florilège de ses chansons avec dynamisme. Toujours
aussi intense et très interactif avec le public, il a su garder l'attention
du public tout au long de sa prestation. J'ai particulièrement apprécié
Il pleuvra des fleurs, Simon de
Cyrène, Le poète et Pégase, Pendez-vous pas à mon coup et
Longue soirée (paroles et musiques de Louis-André Bourque) - une petite nouvelle qu'il
cassait ce soir. Louis-André qui nous reviendra en juin dans le cadre du
Festival
Infringement.
Une excellente soirée qui a séduit l'assistance présente. Au plaisir de
vous voir, ou de vous revoir, lors de notre prochain spectacle.
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Tous les artistes de la soirée |
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