|
||||||||||||
Aiecobaye |
||||||||||||
|
||||||||||||
|
||||||||||||
Après plusieurs prestations dites acoustiques, le groupe Aiecobaye nous revenait ce soir en version plus lourde, incluant batterie (Maxime Lalanne), basse & contrebasse (Sylvain Lamothe) ainsi que claviers & accordéon (Jean-Philippe Bouffard). Je dois dire que je suis un peu déchiré entre les deux versions du groupe, la version à formation réduite nous permet de saisir un peu plus les émotions et les couleurs dans la voix de Nancy, mais c'est dans sa version rock que j'ai connu le groupe et je continue à privilégier cette formule. Autant dans leurs propres compositions (Notre enfance, Une vie à vivre, Revenir en arrière, Mon chemin, Dépendance, etc) que dans leurs interprétations (Like the way I do de Melissa Etheridge, Rock pour un gars de bicycle de Diane Dufresne ou Bobépine de Plume Latraverse), le groupe démontre une maîtrise du bon vieux rock qui se veut autant accrocheur que créatif. Bien que le Petit Medley soit généralement un endroit qui privilégie surtout les prestations de type acoustique (sans batterie), je dois dire que lorsque c'est bien monté et bien sonorisé, le rock y est très agréable et on a passé un moment fort chaleureux avec les membres d'Aiecobaye en pleine possession de leurs moyens ! |
||||||||||||
|
||||||||||||
|
||||||||||||
Il y avait un petit bout de temps que je n'avais pas eu l'occasion d'entendre
le groupe en spectacle et j'avais bien hâte de voir où ils en étaient rendus.
Pour l'occasion, ils nous avaient concocté un beau melting pot de chansons
originales, de chansons nouvelles ainsi que des classiques de la chanson
québécoise et anglophone. Après avoir donné de nombreux spectacles ou le
rock était à l'honneur, ils se sont un peu assagis et c'est en formule
acoustique (avec violoncelle) qu'ils sont montés sur scène ce soir. La première partie leur donnait l'occasion de présenter leurs chansons originales, sont certaines faisaient partie de leur premier album (Dépendance, Une vie à vivre, Faire sa place, Instant), mais aussi des pièces complètement originales comme Mon chemin et une chanson pleine d'émotion, Un autre monde, qui traite de l'Alzeimer. En contraste, la deuxième partie nous permettait de découvrir de nombreux classiques à la sauce AïeCobaye acoustique. Côté québécois, je retiens Rue principale (Les Colocs), Le vieux dans le bas du fleuve (Gaston Mandeville), Souvenirs retrouvés (Francine Raymond), Tomber (Laurence Jalbert) et même Ginette (Beau Dommage). Généreux dans leur prestation, Chriss et San ont aussi fait un survol de la chanson anglophone avec les Beatles (Help, Please please me), CCR (Bad moon rising), les Everly Brothers (Bye Bye love) et même Elvis Presley (Burning love). Tout au long de la soirée, la voix de San portait haut et fort, une belle voix de rockeuse à peine assagie, alors que Chriss nous a surpris en y allant de plusieurs interprétations lui-même. L'ambiance était à la fête et tous ont fort bien apprécié le choix de chansons du groupe qui était accompagné pour l'occasion de Fred Chamberland (guitares) et Jean-Christophe Lizotte (violoncelle). On se dit déjà: à une prochaine ! |
||||||||||||
|
||||||||||||
AïeCobaye - Une vie à vivre Samedi le 15 mai 2004 Salle Maurice Savaria de Ste-Julie |
||||||||||||
Il y a plusieurs mois que j'attendais l'opportunité de voir le groupe AïeCobaye
sur scène. Leur premier album nourri à la sauce rock m'avait séduit et
il fallait bien voir comment le groupe se débrouillait sur scène. Plus
de 300 billets étaient vendus, histoire de remplir la salle Maurice Savaria
à capacité pour cette occasion. En première partie, pour réchauffer la
foule, ils ont fait appel au jeune humoriste Martin Félip qui y est allé
de ses textes incisifs sur les écarts de la langue française, ce qui lui
a valu de nombreux rires bien sentis..
La musique d'AieCobaye se veut résolument rock comme le faisait si bien le groupe Corbeau il y a une vingtaine d'années. Ils reprennent bien haut le flambeau de ce style musical et méritent amplement d'être suivis par le grand public, allez le demander aux gens qui ne tenaient plus en place à la fin du show ce soir. Nous pourrons justement retrouver le rock solide d'AieCobaye très prochainement au Cabaret du Plateau à Montréal, le 19 juin 2004, les billets étant en vente chez Musique-Al (450-649-9489) et Ticketpro (514-908-9090). De plus, San et Chris étaient très heureux d'annoncer qu'ils allaient faire la première partie d'Eric Lapointe au Centre Culturel de Verchères le 18 septembre prochain. Ce sera l'occasion de montrer de quel bois ils se chauffent. |
||||||||||||
|
||||||||||||
|
||||||||||||
Aïecobaye Au Cabaret du Plateau Samedi le 19 juin 2004 |
||||||||||||
Pour la deuxième fois en un peu plus d'un mois, j'ai eu la chance d'assister à la prestation du groupe Aïecobaye. Cette fois-ci, ils étaient invités à montrer leur savoir faire au Cabaret du Plateau qui appartient à la compagnie de disques YFB. Menés par la guitare acérée de Chris J.-Y. et la puissante présence scénique de San, le groupe a fait honneur à sa réputation de rockers invétérés. En plus de leurs propres compositions, ils ont magistralement interprétés des classiques québécois de Corbeau (Illégal, J'lâche pas) et de Diane Dufresne (Rock pour un gars de bicycle, Oxygène) tout en touchant le côté anglophone avec du AC DC et du Led Zeppelin. Bien que j'ai manqué leurs noms San étaient entourée d'excellents musiciens, Chris à la guitare électrique évidemment, en plus d'un bassiste, d'un autre guitariste et d'un batteur. Pour ceux qui n'ont pas eu la chance de goûter au rock du groupe, sachez que le groupe de San et Chris vont faire la première partie d'Eric Lapointe au Centre Culturel de Verchères le 18 septembre prochain. Ils tiennent le flambeau du rock québécois à bout de bras, ils méritent amplement nos encouragements ! |
||||||||||||
|
||||||||||||
|
||||||||||||
Reportage AieCobaye au Centre Communautaire de Verchères Samedi le 22 janvier 2005 |
||||||||||||
Invités à réchauffer la foule en première partie du spectacle d'Eric Lapointe en ce froid samedi de janvier, la formation rock AieCobaye a sauté sur l'occasion pour faire connaître leur matériel auprès de cette belle foule estimée à près de mille personnes. Au départ, il faut savoir qu'environ 200 billets ont été vendus par le groupe lui-même, confirmant qu'une bonne partie de l'auditoire connaissait déjà leur matériel et que ce doublé avec Eric Lapointe était logique et s'inscrivait dans une continuité musicale mettant l'emphase sur le rock québécois. La belle San était magnifique sous son manteau d'un jaune éclatant et Chriss J.Y. était toujours aussi énergique à la guitare. Entourés de leurs musiciens habituels, le groupe a disposé de trente minutes pour allumer le feu et ne s'en est pas gêné. Débutant avec quatre pièces de leur répertoire, Plus fort que moi, Trop dur à vivre, Une vie à vivre et Qu'on cesse de se laisser faire, ils enchaînent ensuite avec une pièce popularisée par Diane Dufresne, Rock pour un gars de bicycle. Lancée avec beaucoup d'énergie, la chanson entraîne la foule dans un tourbillon de riffs de guitares qui se continueront avec l'une de mes pièces préférées du groupe, Dépendance. Avant de terminer et de laisser la place à Eric Lapointe, San présente ses musiciens pour ensuite interpréter de façon magistrale Oxygène, une autre pièce de Diane Dufresne qui a pour effet de lancer la foule dans un délire d'émotions dont on se souviendra. C'est déjà terminé, on souhaite un rappel mais c'est impossible pour une première partie, on se reprendra le 2 avril prochain où AieCobaye prendra l'affiche en vedette au Théâtre Corona de la rue Notre Dame à Montréal. Si on se fie aux réactions de la foule et à toutes les poignées de main qui ont suivi cette belle prestation, on n'a pas fini d'entendre parler d'AieCobaye, la passion du rock au Québec ! |
||||||||||||
|
||||||||||||
Chriss J.Y., San et Eric Lapointe |
||||||||||||
|
||||||||||||
Reportage Samedi le 2 avril 2005 Aiecobaye au Théâtre Corona |
||||||||||||
Ils étaient fiers les Aiecobaye, ils ont travaillé très fort pour produire ce spectacle qui a amené près de 500 personnes au théâtre Corona. L'ambiance était donc à la fête, nos amis Chris et San ont offert plus de deux heures de spectacle. Si on y ajoute la première partie offerte par Fred Neveu, c'est à trois heures de musique rock que les gens ont été conviés. Je ne connais pas vraiment Fred, par contre je sais qu'il a travaillé entre autres avec Yves Savard (Laurence Jalbert, Chloé Ste-Marie) et Dany Bédard sur certaines de ses chansons. On sent justement l'influence de ce dernier dans le style musical de Fred qui nous offre surtout un répertoire composé de ballades rock avec performance vocale. |
||||||||||||
Après cette première partie donc, le groupe Aiecobaye s'installe. Derrière eux, une magnifique bannière aux couleurs du groupe, l'ambiance est électrique quand le rideau s'ouvre et que la belle San entreprend de réchauffer la salle avec son rock de velours ! Aiecobaye table sur d'excellents musiciens dont Chris J-Y qui ne donne pas sa place à la guitare électrique. Dépouillé de son câble puisqu'il joue avec un émetteur RF, il va de gauche à droite et harangue la foule de ses riffs ravageurs... San est habillée de couleurs vives et arbore une chevelure aux tons de terre et de feu. Sa voix n'a rien à envier à Diane Dufresne quand elle chante Rock pour un gars d'bécyk et Oxygène, ou qu'elle y aille de compositions du groupe comme Dépendance (un bon gros rock bien solide) ou Instant (une belle ballade comme seuls les rockers savent en faire). Petite surprise en milieu de show, Aiecobaye ont invité l'unique Papillon à venir les rejoindre histoire de faire quelques chansons. Il commence par BBQ, une chanson tirée de son album intitulé Mal élevé sorti il y a déjà quelque temps. San profite de son intervention pour se sauver en coulisses et changer de costume. Officiellement, cet intermède marque donc le début de la deuxième partie du show et elle reviendra terminer BBQ avec Papillon avant d'interpréter avec lui la chanson Chez vous ou chez nous qui avait été créée par Dan Bigras avec l'aide de Nanette Workman. Je veux en profiter pour mentionner à quel point ce Papillon est sympathique, malgré le titre de son album (Mal élevé). Il donne tout un show sur scène et la complicité avec San était évidente. En fin de spectacle, alors que la foule était debout, le groupe y est allé d'un autre classique du rock québécois, Émeute dans la prison de Michel Pagliaro. Malgré les trois heures de spectacle auxquelles ils venaient d'assister, les gens ne voulaient pas laisser aller le groupe aussi facilement. Applaudissant avec insistance, ils ont obtenu trois chansons en rappel avant de finalement lâcher prise. On peut dire qu'avec ce spectacle au Corona, le groupe s'est fait plaisir et c'est le public qui a obtenu le cadeau ! |
||||||||||||
|
||||||||||||
Une belle chimie, y'a rien de tel pour créer l'ambiance de party |
||||||||||||
|